Dans mon enfance, en ces confins du Finistère, l’eau était l’ultime tentation des femmes. Quand elles n’en pouvaient plus de ces ciels bas et lourds, de leurs existences fades et sans lumière, elles se noyaient dans les étangs, les lavoirs, les rivières.
Les hommes, eux, préféraient l’axe vertical de la pendaison.