[...] Aloïs Brunner s'acharne sur les enfants, dont 2 500 sont déportés. Les SS se font assister par la Milice et recherchent les cibles juives les plus vulnérables, évitant tout affrontement. Ainsi, écument-ils les camps, les hôpitaux, les hospices de vieillards, les hôtels, les maisons d'accueil, les orphelinats de l'UGIF... Cet empressement explique le nombre élevé de déportations de juifs entre le 1er janvier et le 22 août 1944.