Ce que désire par dessus tout Soros, c'est d'influencer l'histoire. L'Histoire avec un grand H. Celle qui fascinait avant lui Hegel, Marx ou Toynbee.
Bien que son mentor Karl Popper se soit fait le pourfendeur de "l'historicisme", Georges Soros a toujours convoité le rêve d'influencer le cours de l'Histoire. Il lui est arrivé d'exprimer publiquement la vision grandiose et et quasi maladive du rôle et de la mission qu'il s'est auto-assigné:
"J'admets que j'ai toujours nourri une vision exagérée de ma propre importance. Pour parler franchement, je m'imaginais même comme une sorte de dieu, de réformateur de l'économie comme Keynes, ou mieux encore, comme un scientifique à la manière d'Einstein".
Le programme des architectes de la société ouverte apparaît ici clairement: détruire les classes moyennes natives européennes et les remplacer par une main-d'oeuvre immigrée, corvéable à merci.
On a ici un exemple type des modalités d'action des réseaux Soros: déstabiliser d'abord pour reconfigurer de nouveaux équilibres favorables à ses objectifs ensuite.
Dissoudre d'un côté, coaguler de l'autre.