Contempler le monde et contempler la sagesse, c'est finalement philosopher, c'est en effet opérer une transformation intérieure, une mutation de la vision, qui me permette de reconnaître à la fois deux choses auxquelles on prête rarement attention, la splendeur du monde et la splendeur de la norme qu'est le sage : "le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale en moi" (Kant)