Dès les temps reculés de la Grèce homérique, l'éducation des jeunes gens est la grande préoccupation de la classe des nobles, de ceux qui possèdent l'aretê, c'est-à-dire l'excellence requise par la noblesse de sang, qui deviendra plus tard, chez les philosophes, la vertu, c'est-à-dire la noblesse de l'âme.