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Critiques de Pierre Lepape (19)
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Scènes de ménage

Une espèce de Lagarde et Michard thématique, abordant plusieurs siècles. De quoi faire des découvertes si l'on n'a pas la littérature infuse : Raymond Carver, Elias Canetti, Saül Bellow, Thomas Hardy, etc...

On en sort convaincu d'une chose : les recueils de textes devraient avoir plus la cote !
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Scènes de ménage

C'est une anthologie des scènes de ménages dans la littérature (internationale).



L'auteur a fait le tour des oeuvres littéraires et en a extrait les meilleures scènes de ménage. Les morceaux choisis traitent les problèmes et les troubles que peut connaître les couples, allant des querelles insidieuses ou violantes jusqu'aux déserts de l'amour en passant par les petites misères de la vie conjugale, l'infidélité, la guerre des classes, les ruptures...etc.



Les textes sont variés, ainsi on peut y trouver aussi bien des extraits de romans (Camus, Zola, Nobokov, Balzac, Kipling,...) que de la mythologie (Homère,..) et des pièces de théâtre (Shakespeare, Jean racine, de Beaumarchais,..).



Ce sont donc 86 textes de genres différents, où les scènes de ménage peuvent être jouées sur tous les registres, de la tragédie à la farce, du comique au drame.



C'est un livre très intéressant;

C'est un travail énorme de l'auteur;

c'est un livre à lire en plusieurs fois ou par extraits au fil de nos envies.



c'était pour moi une lecture très très agréable, qui m'a permis (à travers les extraits qui sont assez courts mais bien choisis) de découvrir aussi d'autres œuvres littéraires.



C'est une lecture que je vous recommande.
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Noir et Or

Mais comment diable Michèle Gazier a-t-elle pu écrire un tel livre ? Elle dont j’avais tant aimé les premiers romans, Nativités ou Un cercle de famille, si personnels et aux personnages dont l’histoire et la psychologie étaient si riches qu’ils m’avaient touché au plus profond de mon être.

Ici, point de profondeur, point de finesse. Une héroïne grossièrement campée et qui n’échappe à aucun poncif : une jeune femme issue d’un milieu modeste, d’origine algérienne par sa mère, qui parvient par son intelligence, ses très brillants résultats scolaires - et une plastique non moins remarquable - à entrer à Sciences Po et à poser un pied dans les milieux du pouvoir et de la finance, dont les portes auraient dû selon toute probabilité lui rester fermées...

Juliette comprend tout mieux et plus vite que tout le monde, se montre capable d’imaginer d’improbables montages pour déguiser des opérations de fraude publique, séduit tous les hommes qui l’approchent, foule aux pieds le peu de scrupules qu’elle pourrait avoir et reste d’une imperturbable froideur. Elle est incapable de s’attacher à quiconque - parents, amis, amants - et ne songe qu’à son ascension sociale.



S’agissait-il d’un ouvrage de commande ? Michèle Gazier et Pierre Lepape ne semblent pas avoir été passionnés par leur sujet. Ils ne laissent même pas à leur héroïne le temps d’évoluer, ils ne l’étoffent en aucune façon. Au bout de quelque 160 pages et après seulement deux stages dans un ministère et une banque, voilà Juliette rattrapée par une sombre histoire d’amant éconduit qui l’amène à sa chute.

Emballé, c’est pesé. Rideau. La petite, promise à un si glorieux avenir, n’est finalement pas tombée de bien haut...

Quant à ce pauvre Stendhal, appelé en renfort pour tenter de convaincre de la force du propos, je préfère n’y même pas faire allusion. Sur les thèmes de l’ambition et de la revanche sociale, de grands classiques du XIXe siècle brillent d’un éclat bien plus vif que les ors dépeints ici...



Je précise que j’ai lu ce livre dans le cadre d’une opération Masse critique. Je remercie donc néanmoins avec chaleur Babelio et les Editions du Seuil dont j’apprécie par ailleurs souvent la production.


Lien : http://delphine-olympe.blogs..
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Noir et Or

Cela pourrait aussi s'intituler "Confessions d'une ambitieuse" mais le titre choisi correspond bien au contraste entre la noirceur des personnages et les décors dorés dans lesquels ils évoluent. "Roman de l'ambition et de la revanche sociale" nous explique la quatrième de couverture... Effectivement. C'est violent et sans concession, servi par une écriture précise, attachée à délivrer les faits et à faire ressortir le cynisme qui règne chez les puissants.



L'ambitieuse, c'est Juliette, fille d'un pépiniériste ancien mineur et d'une caissière de supermarché venue d'Algérie. C'est elle qui raconte, son envie de s'élever, de sortir de sa condition, de voir plus loin qu'un avenir bouché à Alès. Elève brillante et jolie jeune fille, Juliette a de nombreuses cartes en mains et l'intention de les utiliser. Une mention "très bien" au bac lui permet d'intégrer Sciences Po, et de s'ouvrir les portes du monde qu'elle convoite grâce aux relations qu'elle parvient à nouer et surtout à transformer à chaque fois en tremplin vers le niveau supérieur. Grâce au père d'un ami, elle est hébergée à Paris chez François de Maule, Conseiller auprès du Ministre de la Santé. Elle devient sa stagiaire, puis sa maîtresse et l'auteure d'une brillante magouille liée au trafic de médicaments dont tout le ministère tire profit en toute impunité... Son intelligence n'a d'égal que son cynisme. Fine observatrice, elle ne fait que reproduire, en les amplifiant et en les améliorant, les pratiques qu'elle observe autour d'elle. Un apprentissage qu'elle poursuit à Genève, bien décidée à maîtriser tous les rouages de la finance internationale et d'en remontrer aux plus roués des traders. Obsédée par sa quête de la réussite, par son désir d'intégrer la classe sociale des puissants, Juliette ne s'embarrasse pas de bons sentiments. Mais peut-on s'élever impunément ?



L'environnement dans lequel navigue l'héroïne, salons feutrés abritant politiciens et banquiers est particulièrement bien rendu par les deux auteurs. Les personnages masculins sont plus vrais que nature - ambition, cynisme, mégalomanie des politiques, lâcheté des fils à papa et des maris adultères - et l'on voudrait de temps en temps mettre en garde Juliette contre sa certitude de toujours maîtriser la situation et d'être plus forte qu'eux tous. Car, au fur et à mesure que se déroule sa confession, on comprend qu'il s'est passé quelque chose de grave...



On pourra, comme moi, trouver la fin un peu "too much". Cela ne nuit en rien au fait que l'on suit avec intérêt et même une sorte de fascination cette mise à nue d'une ambitieuse, fille du peuple cherchant à échapper à sa condition au risque de se brûler les ailes. Un regard à la fois original et terriblement cru sur notre époque, celle de la finance et du règne de l'illusion - le grand creux - pour ce roman dont l'ambition annoncée est de faire écho à ce classique de la littérature qu'est Le Rouge et le Noir de Stendhal.

NB : merci à Babelio et aux Editions Seuil pour cet envoi dans le cadre de l'opération Masse critique.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Le pays de la littérature : Des Serments de S..

Pierre Lepape nous invite dans un voyage passionnant au coeur de notre histoire littéraire. Cet ouvrage nous transporte du 14 février 842 jusqu'à la mort de Sartre dans une épopée à travers la langue et les oeuvres qui ont fondé notre patrimoine. Le livre se lit comme un roman grâce à une écriture fluide et entraînante, nous n'avons pas l'impression d'apprendre et pourtant une grande érudition parcourt ces pages. De l'affaire des Placards à la création de l'Académie française, en passant par la mort de Victor Hugo, nous pénétrons l'intimité de nos grands écrivains pour notre plus grand plaisir. Si vous souhaitez un ouvrage clair et original pour réviser votre histoire littéraire, c'est bien celui-ci qu'il faut lire !
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Le pays de la littérature : Des Serments de S..

Un voyage littéraire que je fais par étapes. Pierre Lepape nous fait découvrir ou redécouvrir les textes fondateurs ou fondamentaux de notre littérature, une approche savante dans une langue romanesque et accessible. Un bonheur pour se mettre ou remettre à jour dans nos connaissances universitaires.
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Une histoire des romans d'amour

Excellent essai sur l'évolution du roman d'amour en occident qui dépoussière puissamment les thèses du sacro-saint "Amour et Occident" de Denis de Rougemont. On ne s'ennuie pas un instant à cette lecture, on comble des lacunes, le fil conducteur de l'évolution de l'idée d'amour au fil du temps est rigoureusement suivi. On peut se délecter de l'interprétation par l'auteur de certains textes que l'on n'avait pas compris ou ressenti comme lui, bref, c'est passionnant.

Une petite déception pour moi qui ai beaucoup aimé le roman de Samuel Richardson, "Clarisse Harlowe" : cet ouvrage n'a été abordé que sous l'angle lacrymal en tant que littérature des pleurs. J'y avais vu bien autre chose, à savoir l'émergence de l'amour au féminin, l'espace de non droit constitué par la famille, la terrible répression de la société du 18 ème siècle en Angleterre. En un mot une féroce chronique sociale.

Mais il est bien évident que Pierre le Pape ne pouvait s'étendre sur chaque roman car il lui aurait fallu concevoir pour cela un ouvrage en dix volumes. L'analyse des oeuvres une à une n'était pas son propos, ce dernier étant de présenter une thèse rajeunie de l'évolution de la notion d'amour au fil du temps dans la littérature.
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Ruines

"Quand en aurons-nous finit avec les livres ?" se demande l'auteur...



Tentative(s) de réponse(s) dans ce récit très personnel, mélancolique mais jamais décliniste, abordant la littérature comme un jeu de construction mais aussi de déconstruction.



Présentation vidéo sur :

http://manoeuvres.hautetfort.com/
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Diderot

Explorer tout ce qui fait la modernité de Denis Diderot et de son oeuvre, c'est le parti pris par Pierre Lepape dans cette biographie. Style riche, description précise des évènements, analyse des situations en regard de l'histoire contemporaine du 18ème siècle, j'ai adoré cet ouvrage de Pierre Lepape, auteur que je découvrais pour la première fois. Pierre Lepape dépeint avec précision la vie intellectuelle au siècle des Lumières et ses multiples impacts avant la Révolution. C'est une biographie organisée avec dynamisme, les mots valsent de la première à la dernière page et entrainent le lecteur sans répit à partager la vie de Diderot. Un bel ouvrage pour comprendre comment Diderot et le Parti Philosophique ont changé l'Histoire.
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Scènes de ménage

À travers quelque 80 scènes de deux ou trois pages, pensées à différents moments de l’histoire, tirées de textes d’Homère, de Raymond Chandler, Emily Brontë, Georges Feydeau, Corneille, Nabokov ou Svevo, monsieur Lepape dressent un portrait de l’évolution de l’amour et de ses emportements à travers la littérature.
Lien : http://www.ledevoir.com/cult..
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Noir et Or

Tout d’abord, je tiens à remercier Babelio de m’avoir fait confiance lors de la dernière masse critique si prisée.



Lorsque j’ai reçu le livre, j’en étais toute émoustillée ! J’ai trouvé la couverture vraiment belle dans sa simplicité, poétique dans ses couleurs. À ma grande surprise, le noir et l’or ressortaient vraiment bien sur la photo de couverture. Si je me suis longtemps questionnée quant à l’origine de ce titre, j’en ai finalement compris le sens au fil des pages (ou en tout cas je m’en suis fait ma propre analyse). Le noir, représente la part malsaine qui habite notre personnage principal, la partie dérangeante du récit et le côté dramatique du monde dans lequel nous évoluons. Tandis que l’or représente l’appât, l’envie, l’orgueil et la face visible de l’iceberg. Le beau, le glorieux, l’envieux… Titre et histoire qui renvoient aussi à Stendhal in « Le Rouge et le Noir » (Peut-être un peu trop d’ailleurs ?)



J’étais assez sceptique concernant les débuts du livre, je l’avoue, puisque je n’appréciais pas forcément l’univers dans lequel les auteurs tentaient de m’embarquer. Pourtant, d’ordre général j’adore vraiment ce genre de livre qui parle de faits divers, de faits dérangeants dont on doute mais que l’on fait semblant de ne pas voir. J’apprécie beaucoup l’économie, le droit et le monde politique. Même si le troisième point me répugne plus qu’il ne m’appâte. La plume des auteurs est très belle, très simpliste mais en même temps recherchée. Nous buvons les mots, nous les engloutissons. Les pages se tournent et se lisent vraiment vite et l’absence de chapitres fait que nous n’avons pas de repères « chronologiques » (généralement, lorsqu’on lit nous nous disons « Allez, je finis ce chapitre et j’arrête » ; ici sans chapitre il est plus dure de s’arrêter au beau milieu d’une phrase…). J’étais donc assez septique concernant ce livre puisque je me demandais si ce genre de thème pouvait donner du pep’s à un récit. En règle générale, nous ne sommes pas forcément intéressés par les questions de politique et de mœurs, d’économie et autres. Le thème ne me parlait franchement pas des masses (Bien que j’apprécie l’étudier en cours). Mais je me suis quand même laissé embarquer dans l’histoire de cette jeune femme, Juliette. Fille de parents issus d’une classe sociale inférieure à ce qu’elle aspire. Ambitieuse, intelligente mais aussi déterminée son rêve à elle est de parvenir à briller dans la société. Cependant, ses parents (sa mère d’origines algériennes et simple caissière dans un supermarché ainsi que son père pépiniériste) représentent un poids pour elle et l’empêchent de prendre son envol. C’est avec acharnement, travail et concessions qu’elle parvient enfin à toucher le but de sa vie : Elle parvient enfin à trouver une minuscule place auprès d’un politicien influent qui va vite devenir son amant. Nous suivons donc Juliette dans ses déboires et tentons tant bien que mal de comprendre ses agissements. Sa soif de pouvoirs en devient déstabilisante, flirtant parfois même avec la paranoïa. Juliette nous apparait comme une simple coquille vide, égoïste et vengeresse, qui n’agit que par pur intérêt. Ai-je aimé ce livre ? En me posant cette question aucune réponse ne me vient. Autant, j’ai adoré voir à travers les yeux de Juliette ce que le monde politique et économique nous cache. Au fond, qui sont ces personnes qui nous gouvernent et se chargent de notre argent ? J’ai été outrée de participer aux agissements destructeurs de Juliette, à cette manie qu’elle a de vouloir tout contrôler et d’être constamment sur le fil du rasoir. J’ai été déçue de déceler une part de vérité dans ce livre concernant la fraude aux médicaments destinés aux plus nécessiteux : Dans noir et or, une totale machination se fait autour des médicaments destinés aux pays pauvres qui en ont grand besoin. Ici, ils changent la date de péremption des médicaments pour éviter de gaspiller et engendrer des frais supplémentaires inutiles. Cela ne nuit en rien à la santé des malades mais, cela réduit leurs effets. Dans la réalité, il existe les contrefaçons et sûrement d’autres choses que nous ne soupçonnons pas. Nous côtoyons ces hommes riches, puissants, dangereux qui se prennent pour les rois du monde. Jouant avec les sentiments, la vie et la santé des autres pour un simple pécule. Nous nous rendons compte de la place que prennent les femmes dans ce monde très fermé et prisé. Elle occupe la place de l’appât, de la maitresse. Elle donne ses idées, mais reste dans l’ombre pour ne pas éclipser la gloire de l’Homme. Je n’ai pas compris ce personnage principal, pratiquement sadique envers elle-même, qui préfère quitter amour et tendresse pour un monde de brute qui ne lui apporte que des misères. Et je n’ai certainement pas approuvé cette fin brutale, qui me laisse sur une faim de loup. Une fin, certes qui donne le sourire tant elle nous enlève un poids au cœur, mais qui nous laisse un léger goût amer « Tout ça pour ça ! ». J’aurai d’autant plus apprécié tomber au cœur d’une tourmente économique et politique, d’un boum qui ébranle tout les édifices et fait repentir notre personnage principal à la toute fin. J’aurai préféré tomber au cœur d’un complot, plutôt qu’au cœur d’une histoire d’amour qui tourne mal…
Lien : https://libreaddiction.wordp..
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Diderot

C'est un chef de projet hors norme. Il a su trouver les astuces nécessaires pour mener la grande aventure de l'encyclopédie à terme. C'est aussi un personnage admirable car il maitrise sa peur et affronte les Grands de son époques. C'est également une certaine peur ou le souci du bien-être de ses proches qui le rend extrêmement émouvant.
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Noir et Or

Ce livre est très agréable à lire, très facile d'accès aussi. Juste quelques petites opérations boursières que je n'ai pas comprises mais bon, je ne suis pas dans la partie et quand l'auteur explique que "le Libor sert à établir le taux interbancaire à partir duquel seront calculés les taux des prêts aux banques du monde entier", cela me passe au-dessus et en fait, ne me passionne guère.

C'est pourquoi trouver des similitudes entre ce roman et celui de Stendhal "le rouge et le noir", je ne suis pas d'accord. Les ressemblances sont grossières mais Stendhal est pour moi un auteur qui a écrit pour la postérité. Noir et Or n'ira pas jusque là.

L'héroïne, "le petit crocodile aux dents pointues" n'est pas aussi tenace et entêtée que Julien Sorel.

Sa fin est beaucoup moins tragique donc moins romantique, surtout que Juliette n'est pas, elle, condamnée à mort, condamnée à la guillotine...

C'est une belle histoire, sans plus !



Je relirai avec plaisir le rouge et le noir où quelques vers sont terribles :



"Ladislas.

... Mon âme est toute prête.



Le Roi, père de Ladislas.

L'échafaud l'est aussi : portez-y votre tête."



Juliette est une héroïne des temps modernes où le fait de tremper dans des magouilles politico-bancaires donne du piment à la donzelle qui par ailleurs est assez incolore. Elle se laisse séduire par l'homme de la famille qui veut bien l'héberger à Paris le temps de ses études à Sciences-Po et elle recommence mais en prenant plus jeune cette fois quand elle part en stage en Suisse. C'est d'une banalité navrante.

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Noir et Or

Même si c'est bien écrit, c'est un roman trop prévisible...avec des personnages somme toute ordinaires et une histoire pas très originale. Du déjà vu et même déjà entendu!!! Il y a pas mal d'approximations et pas beaucoup d'approfondissements des sujets notamment sur la fraude au LIBOR c'est vraiement très facile comme pratique alors qu'une banque en cette période dispose au moins d'un mécanisme de contrôle qu' on ne trouve pas dans le récit...Un roman sans doute à découvrir pour l'auteure!!!
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Scènes de ménage

Quatre-vingt-sept exemples dont chacun pourra s'inspirer pour se convaincre que les mauvais sentiments peuvent produire de la bonne littérature.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Scènes de ménage

Premier abord, avec la couverture, aïe. Elle ne donne pas du tout envie de lire ce livre.

Je lis l'introduction, re-aïe. Ce n'est pas adressé à tout public. Le vocabulaire et les tournures de phrases sont certes très littéraires mais demandent une bonne dose de concentration. J'ai presque eu envie de "fluoter" des parties de ma lecture, vieux souvenir universitaire, afin de focaliser toute mon attention dessus.

Ensuite, je découvre les chapitres... J'hésite entre deux conclusions, mais c'est peut-être un cumul des deux, en fait. Primo, je n'y connais pas suffisamment en littérature pour être accrochée aux parties de récits. Deuxio, ces parties de récit, justement, sont peut-être trop courtes que pour que l'on puisse se projeter un minimum dans l'histoire.

En bref, un avis assez mitigé me concernant. Un livre certes très intéressant mais qui s'adresse plutôt à des personnes ayant de bonnes notions en littératures diverses.
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Une histoire des romans d'amour

En 400 pages et en une multitude d'évocations littéraires, l'auteur a tordu le coup aux clichés du roman à l'eau de rose. Sans rage mais avec beaucoup d'amour. Voilà le bel hommage d'un passionné de romans.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Une histoire des romans d'amour

Reflets de la société, ils donnent aussi forme au sentiment amoureux. Pierre Lepape raconte leur histoire dans un livre riche en informations éclairantes.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Une histoire des romans d'amour

L'érudition de Pierre Lepape, critique littéraire et ancien feuilletoniste du "Monde des livres", rend un hommage justifié à cette veine romanesque longtemps (toujours ?) dénigrée pour le goût prononcé que lui porterait la gent féminine. Mais comment faire l'histoire de cette profusion d'histoires ? Elle ne peut que suivre les méandres qu'empruntent l'âme et le roman quand ils sont emportés par le tourbillon de l'amour.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
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