Pierre Probst

Tout d'abord je vous dresse la liste des amis de Caroline : Pipo, Pitou, Boum, Youpi, Pouf, Noiraud, Kid et Bobi. Dans cet album ils vont lui souhaiter « Bonne fête » et lui offrir (ils ont tous cotisé pour ce faire en cassant leurs tirelires) un superbe livre sont le titre est « Le Voyage de Gulliver dans les contrées lointaines ». L'album commence par une belle mise en abime dans la mesure où en lisant ce livre Caroline va « s'assoupir ». Au réveil, Caroline se retrouve prisonnière chez les... LILLIPUCHIENS ! Eh, oui, se sont de minuscules chiens. Très inspiré le nom du journal local : « Le Bavard déchaîné ». le lendemain une fête est donnée en son honneur. Une fête nautique. À son départ en planche à voile, une statue de son buste est érigée sur la plage « Ici aborda la géante Caroline, l'an 1984 ». le vent tourne et elle fait de nouveau naufrage sur l'île de MAXI-MINETS. Un beau rêve par un jour ensoleillé d'été, pour un livre tout mini. Euh, pardon... « mimi ».

Le rangement, ça a du bon ! C'est en triant des livres chez mes parents pour en faire don que j'ai retrouvé mon album Caroline invite ses amis.



Ce livre m'a été offert par ma grand-mère maternelle pour un anniversaire car l'héroïne de l'histoire et moi partageons le même prénom. Quand j'avais ouvert le paquet et découvert mon prénom écrit en lettres rouges sur la couverture, j'avais ressenti une joie explosive.



C'est le même sentiment qui m'a envahie en retrouvant ce livre que je n'avais pas ouvert depuis plus de vingt-cinq ans. J'ai été surprise par sa petite taille et par la brièveté de l'histoire : enfant, j'avais l'impression de lire un gros bouquin !



En tournant les pages, je me suis replongée avec délices dans les superbes illustrations de Pierre Probst que je n'avais pas oublié. Je me suis pris un sacré coup de jeune !



Caroline est une jeune fille craquante qui conduit le vieux tacot de son grand-père, confectionne des costumes pour se déguiser, joue du piano, danse et, pour ne rien gâcher, ne montre pas sa petite culotte à tout le monde contrairement à une certaine Martine !



C'est une belle histoire, pleine de fantaisie et de bonne humeur que nous conte Pierre Probst. Ce n'est pas étonnant que ses livres continuent de remporter du succès auprès des jeunes lecteurs.



CHALLENGE MULTI-DÉFIS 2018

CHALLENGE LE TOUR DU SCRABBLE EN 80 JOURS

Tranchant avec sa contemporaine Martine, mignonne mais très "rangée",, Caroline, petite fille délurée de 7 ans, préfère les expéditions à travers le monde aux week-ends à la ferme, et les longues routes en Citroën plutôt que sur une bicyclette pastel. (Si Martine était née dans les années 2000, elle s'habillerait chez Cyrillus alors que Caroline préfèrerait Petit Bateau ou Oshkosh !!!)

Elle a une salopette rouge et deux couettes blondes, elle est dynamique, optimiste, dégourdie, et très indépendante. Quant à ses petits amis les animaux, ils aiment beaucoup Caroline mais ils filent doux car la demoiselle est autoritaire et fait preuve de beaucoup de maturité !!! Une délicieuse lecture à l'odeur d'enfance.

j'ai toujours été fan de Caroline et de la bande de joyeux drilles qui l'entourent, de leur bouille expressive et de leurs réactions. dans chaque planche il y a des gags secondaires visuels, des sujets qui prêtent à rire.

Cette histoire de galette des rois pleine de bons sentiments est un peu moins décalée que certaines comme Caroline sur la lune mais le scénario est plutôt bon et les enfants tirnt à sa lecture !

indémodable !

"Vive le carnaval!"

Caroline et ses amis animaux s'amusent comme des fous. Pour le mardi gras, ils ont décidé de construire un bateau de pirates, de défiler dans les rues de la ville et de remporter un prix au concours des plus beaux chars.

"Catastrophe!" Ne voilà-t-il pas que Caroline, sirène et figure de proue, perd sa queue bouchant la vue, par la même occasion, de Bobi le chien qui perd le contrôle du char et cause une sacrée frayeur à M° Cotillon persuadée qu'un tremblement de terre détruit les murs de son magasin.

Gaz hilarant, fou-rire,cotillons,confettis, devinettes....et prix de consolation concluront cette nouvelle aventure d'actualité!!: Caroline au carnaval.

Les dessins sont colorés et sympathiques. Les petites filles (habituées aux attachantes Martine de Gilbert Delahaye et Marcel Marlier, aux gentilles Emilie de Domitille de Pressensé et aux enfantines Juliette de Doris Lauer) s'identifient facilement à la dynamique Caroline. Les enfants adorent les animaux dotés de parole et le scénario de Pierre Probst tient la route.

Dans la même collection on trouve: Caroline en randonnée, Caroline et les extraterrestres, Caroline et sa maison...

J'aime ce prénom "Caroline" parce qu'il me rappelle mon enfance. Ma grande sœur lisait ses albums que je lui chapardais malicieusement.

L'héroïne créée par l'auteur et dessinateur français Pierre Probst dans les années 1950 est une petite fille à l'image de sa consœur belge Martine puisque ni l'une ni l'autre ne semblent avoir de parents. En tout cas, cela montre que les filles peuvent être indépendantes, ce qui est bon à rappeler.

Elles sont des aventurières du quotidien à la hauteur de leur jeune âge.

Mais si Martine renvoie une image de petite fille raisonnable, Caroline semble plus moderne. Il faut dire aussi qu'elle doit gérer ses nombreux petits amis quand Martine a pour compagnon le chien Patapouf.



Dans cette nouvelle édition grand format de "Caroline à la mer" on retrouve sa petite bande qui se compose huit personnages qui ne sont pas en peluche et qui permettent d’illustrer ce qu'est l'anthropomorphisme, des animaux à l'allure et au comportement humain.

Alors que Caroline et ses amis arrivent en Bretagne pour les vacances (il n'y a aucun doute que ce soit la Bretagne même si ce n’est pas préciser) leur installation est houleuse comme les vagues mais la belle équipe va bien s'amuser.

Il y a Pitou la panthère, Pouf le chaton blanc, Noiraud le chaton noir, Pipo le chien de berger, Youpi le cocker, Bobi le chiot, Boum l'ourson et Kid le lionceau.

Ils ont chacun un tempérament différent mais bien trempé, un joyeux fond et suivent Caroline les yeux fermés. Certes, ils les ouvrent pour aller pêcher les poissons, voir le phare ou ramasser des coquillages durant ces vacances très actives. Il s’agit aussi d’être prudent et d’apprendre à faire attention aux marées.

Ce qui est bien c'est qu'ils s'attachent à écrire des cartes postales avant le retour à la maison, ce qui est une pratique fort appréciable que l'on voit sur la dernière page.



Je remercie les éditions Hachette et Babelio pour ce bel album jeunesse qui m'a été offert dans le cadre d'une opération Masse Critique.





Challenge Riquiqui 2023

Challenge XXème siècle 2023

Fan de Caroline, pour toutes les frasques du petit bestiaire, j'ai retrouvé toute la bande, déchaînée, dans une ferme des années 80.

Beaucoup d’œufs cassés, des bêtises en pagaille, mais le scénario, les gags, sont un cran en dessous de certains classiques comme caroline sur la lune, la galette des rois...

On aurait aimé plus de gags délirants, pourquoi pas avec les autres animaux de la ferme.

Reste un dessin coloré et expressif, les bouilles de Pouf et Noireaud, et bien sur la frimousse souriante de Caroline. Et surtout, ça a plutôt bien vieilli, dans la mesure où toutes références aux valeurs genrées de l'époque sont absentes.

Une question pratique : pourquoi un tel format qui ne rentre pas dans une bibliothèque de format standard ?

Caroline et ses 7 petits animaux arrivent encore à me faire rire, les vacances à la montagne sont l'occasion de dessins savoureux et hilarants des expressions des animaux, surtout les deux chats (pouf et noiraud), particulièrement réussis.

Le scénario est simple (voir simpliste), mais mon petit fils de 18 mois à bien accroché, d'autant que le texte est efficace.

Vintage, mais ça a beaucoup mieux vieilli que Martine. Des que j'en trouve dans les brocantes je prends, d'autant qu'ils sont moins côtés.

Improbable histoire de conquête de la lune grace à un savant qui ressemble à Doc dans "retour vers le futur", mais c'est bien sûr l'occasion de délirer avec les animaux et leurs expressions (Noiraud étant, avec Pouf, le plus reussi), Caroline ayant réponse à toutes les situations. Toujours aussi drôle et le test du petit fils réussi haut la main !

C'est très loin d'être le meilleur Caroline (dont le visage s'est arrondi) ; l'intrigue, même si elle est sympa, est très tenue, et il manque les inénarrables gaffes des amis de Caroline.

Ca reste une lecture agréable pour les enfants, mais sans plus.

Je ne connaissais pas Caroline, personnage d'album jeunesse d'il y a quelques années... Je l'ai découverte à Noël, dans les étagères de mes beaux parents, parce que ma nièce voulait que je lui lise une histoire.

Me voilà donc à la découverte de Caroline et de tout ses animaux : deux chiens, deux chats, un léopard et un ours ou un lion (je ne me souviens plus ?), jolie ménagerie !



Ce qui m'a perturbé, c'est qu'il me semble que Caroline est une enfant (comme Martine), mais elle vit seule, et elle a même une voiture ?!!! Remarquez, les animaux portent des vêtements, parlent et c'est le chien qui conduit la voiture (décorée en bateau pirate)...donc, il ne faut peut être pas se poser de question ! ^^



Peu importe, il semble que ce soit l'album préféré de ma nièce, puisque elle connaissait déjà l'histoire !



Bon, avec mon regard d'adulte, je ne sais pas quoi en penser ! J'ai aimé le dessin, délicieusement rétro, et puis ce petit grain de folie !

J'ai découvert les illustrations d'une Caroline que j'ai connu différente, avec quelques années de plus.

C'est un vrai bonheur de feuilleter ce petit livre car j'adore les illustrations de Pierre Probst, les images parlent presque toutes seules.

On le lit et le relit depuis quelques jours avec délice.

Voila pourquoi j'ai un chien. Youpi !!!

Comme un parfum d'enfance !

La série Caroline, de Pierre Probst a réjoui des générations d'enfants, et elle a toujours du succès.

Dans ce volume, Caroline n'a pas encore toute sa troupe d'amis animaux.

Son papa le garde-chasse ramasse Youpi, petit chien errant, et le lui apporte.

On voit déjà que Caroline est une fillette espiègle et futée.

Beaucoup plus amusant et moins mièvre que les "Martine", ils datent pour moi d'une même époque d'enfance mais je ne suis pas totalement objective puisque je m'appelle Caroline... ;-)

Dans ma grande générosité – tu me connais – j'aide en ce moment mon cher papa à faire ses cartons, vu qu'il déménage dans deux jours.



(Oui, il s'y prend à l'arrache, mais c'est mon père, pose pas de questions.)



Et, forcément, je suis déléguée à la bibliothèque de ma chambre, qui n'a pas changé depuis mes huit ans.



Instant souvenirs et émotions, où je déniche un album photo rempli de gens que j'ai connus et qui sont morts, perdu entre tout plein de vieux livres que mes petites mains potelées ont jadis feuilletés avec avidité.



Pêle-mêle, on y trouve Caroline, Martine, la Comtesse de Ségur et bien sûr, notre dieu à tous :



Pierre Probst. Tadaaaa.



En l'occurrence « Ma première histoire de France », illustré par ledit Pierre Probst.



Je marque une courte pause pour signifier que Pierre Probst a ‘‘seulement'' illustré l'ouvrage, et non pas écrit aussi le texte, contrairement à ce que ça laisse à penser. C'est juste que l'auteur, Guy Lehideux – quel triste nom... –, s'est fait carotte et n'a pas droit de figurer en première de couverture, sous son illustre camarade. Mais ce doit être parce que Guy n'a pas de moustache.



Déjà, la couverture, elle claque. C'est un beau chevalier juché sur son destrier qui pose fièrement avant une bataille qui lui apportera gloire, fortune et sex-appeal, ou simplement la mort.



Si tu regardes la quatrième de couverture, on t'explique que cet ouvrage est une « superbe fresque destinée aux très jeunes enfants ».



Alors, je vais poser les choses tout de suite, je ne suis plus une très jeune enfant – j'ai regardé Alien sans me cacher les yeux, la preuve –, et pourtant, j'ai kiffé ma race, comme disent les jeunes et dynamiques.



Et pour cause ! Dans ce livre, on t'offre de merveilleux dessins pour t'expliquer l'Histoire de France sans te prendre pour un abruti – comme c'est le cas au Musée Carnavallet de Paris depuis sa restauration, mais je ne vais pas tirer sur l'ambulance.



de merveilleux dessins, bien sûr, produits par le grand Pierre Probst, que j'aurais immédiatement demandé en mariage s'il n'était pas en stade de décomposition très avancé, Pierre Probst, dis-je, dont les illustrations font partie intégrante de ma tendre enfance. Et dont heureusement je ne me souviens pas de la mort, sinon j'aurais pleuré comme un veau pendant deux jours.



le traumatisme est tel que, au moment où j'écris ces lignes, l'émotion est forte et j'ai une petite larmichette qui commence à se pointer. Ah, Pierre Probst, quel homme...



Je ne comptais pas écrire ce billet, mais maintenant c'est fait, ça tombe bien je m'ennuyais. Je viens quand même le conseiller aux gens qui aiment vraiment leurs enfants – si, si, il paraît que ça existe, j'ignore comment... –, et qui souhaitent développer un tant soit peu leur culture avec un album qui a quand même sacrément de la gueule. D'ailleurs, c'est efficace ; la preuve, je sais situer la Guerre de Quatorze sur une frise chronologique sans m'aider de Wikipédia. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde, n'est-il pas.



Alors, aux âmes belliqueuses cherchant la bagarre en crachant que je ne dis que du mal des livres que je critique, BAM ! regarde, c'est complètement faux.



Pierre Probst-Le-Grand trouve grâce à mes yeux.



Mais, ne t'y fies pas trop ; ce doit être la moustache.

Depuis quelques années, je suis une fan absolue de la Caroline de Pierre Probst.

J'avais quelques petites histoires de ses animaux dans mes lectures d'enfants, et j'admire mes parents, (à l'époque, arrivés en France depuis pas très longtemps) pour leur choix.

J'avais un peu oublié pendant de nombreuses années, jamais offert à mes enfants. Et puis j'ai redécouvert ça il y a moins d'un lustre, et j'adore.

Avant tout pour les dessins, les têtes expressives des animaux sont vraiment extraordinaires. Quand Pouf, Pitou, ou Bobi sont ahuris, ennuyés, ou bousculés, ça donne des dessins dont je ne me lasse pas.

Et de plus, Caroline est vraiment l'anti-Martine !!!

Elle n'est pas bloquée à la maison à s'occuper de son petit frère, et à faire tous les travaux à la place de ses parents (d’ailleurs, en a-t-elle ?) mais toujours par monts et par vaux, avec sa troupe de petits animaux inénarrables, chats, chien, ours, lion ...

Chaque histoire est un petit régal, mais aussi l'occasion d'expliquer et de découvrir avec les plus jeunes.

J'ai le plaisir de voir que mes petits-enfants, pas forcément intéressés par mes vieux livres, adorent ceux-ci.

J'en ai chroniqué une bonne demi-douzaine sur Babelio, mais je n'avais pas encore eu l’occasion d'en parler sur ce blog.

Merci à ma fille, qui m'a dénichée celui-ci au vide-grenier où je n'ai pas pu aller, il est mignon comme tout.



"Expédition Caroline au Pôle Nord, à la recherche de la Grande Ourse" !!

Et en fait, cette Grande Ourse est une vraie, la maman d'un pauvre ourson libéré par notre petite troupe. et les voilà tous partis vers le froid.

L'occasion de découvrir où se situe le Pôle, quels animaux on y trouve. Voir des icebergs, construire un igloo (et ne pas oublier la porte), prendre conscience des dangers de la banquise ...

Tout ça bien entendu en souriant constamment.

Bref, j'aime Caroline !!
Lien : http://livresjeunessejangeli..

A bien y penser, je crois que c'est le 1er livre qui a changé ma vie...

Ce petit livre m’avait enchantée lorsque j’avais 3 ans … On me le lisait tous les soirs tant et si bien que je connaissais les pages par cœur ! Je prenais d’ailleurs grand plaisir à réciter les 24 pages de l’histoire à ma maman quand je l’appelais le soir haha. Je crois que passées cinq pages elle en avait marre, aujourd’hui je la comprends. Ce qui est sûr c’est que ce livre restera très longtemps gravé dans ma mémoire et ce sera avec beaucoup d’enthousiasme que je le relirai un jour. J’y consacrerai cinq minutes de sourire …

Bonne lecture !

Petite j'adorais les histoires de Caroline et ses amis. Ce fût donc avec beaucoup de plaisir que j'ai découvert ce livre et que je l'ai, à mon tour fait découvrir à mes enfants.

Les illustrations sont magnifiques et même si l'histoire reste toute bête, ces pages seront tournées et retournées encore de nombreuses fois.