Le Jardin public apparaît comme une pause au sens musical du terme : non point seulement un moment de repos au cours d'une déambulation fatigante mais comme un silence dans une partition. (...)
Le jardin constitue une échancrure dans un ciel et une terre dérobés. Quand vous estompez la présence (...) de l'un de ces jardins majeurs, c'est tout un pan de la cité qui s'assombrit et perd de son sens (p. 35)