“Si nous voulons reconstruire nos villes, nous devons tout d’abord reconstruire nos quartiers. […] S’asseoir sur les marches dehors (qu’il s’agisse d’une véranda dans une petite ville ou d’un perron en béton dans une grande ville) et parler à nos voisins est infiniment plus important que de se vautrer dans son canapé au salon et regarder un monde de faux-semblants en couleurs qui ne reflètent pas vraiment la vie.”
N’est-il pas étrange qu’au fur et à mesure des avancées de la technologie, la qualité de vie décline si fréquemment ? Oh ! bien sûr, laver la vaisselle est désormais chose plus facile. Faire à manger est également plus facile : on réchauffe et on sert, quoique le plat pourrait être plus nourrissant si nous mangions les publicités et jetions la nourriture.
“La véritable fonction de la politique n’est pas simplement de voter des lois, mais de susciter l’espoir. Il y a eu trop de déceptions ces derniers temps. Le véritable abysse qui s’annonce, c’est le jour où le peuple, à force de déceptions, aura perdu tout espoir. Quand ce jour arrivera, tout ce que nous chérissons sera perdu.”
Tant qu’il n’y a pas de dialogue, tant que vous n’ouvrez pas les murs du dialogue, vous ne pouvez pas arriver à changer les opinions des gens. […] Une fois que le dialogue a démarré, vous savez que vous pouvez détruire les préjugés.
Sa mort, bien plus que n’importe quel acte qu’il aurait pu accomplir de son vivant, a démultiplié son aura; telle est la nature des mortels et des martyrs, des rêves et de leur rayonnement.
Souciez-vous de devenir un être humain et non de la façon dont vous pouvez empêcher les autres de profiter de leur vie en raison de votre propre incapacité à vous ajuster à la vie.
Les journalistes ne rendent pas service à l’Histoire s’ils privilégient la bienséance ou l’agitation au détriment de leur devoir impérieux de dire toute la vérité.
Ce qui reste en dernier, c’est un rêve qui se prolonge.