La conception positive des forces qui dominent l’homme, le placent à son rang dans l’image qu’il conçoit du monde. Ce fut l’oeuvre de la philosophie prébouddhique en Chine. Ce qui fut l’oeuvre propre du Bouddhisme, c’est l’amour de l’être vivant et des choses de la nature ; j’entends l’amour sous sa forme impulsive et sentimentale, non point cette complaisance toute intellectuelle des anciens maîtres chinois.