Il est aussi et surtout question de l'impérialisme des médias, du grand décervelage auquel procèdent la publicité, les jeux, les feuilletons, les « informations » télévisées. Car, comme le dit ailleurs Bradbury, «il y a plus d'une façon de brûler un livre », l'une d'elle, peut-être la plus radicale, étant de rendre les gens incapable de lire par atrophie de tout intérêt pour la chose littéraire, paresse mentales ou simples désinformations.