il espérait qu un jour,nos cités s’ouvriraient pour laisser plus largement entrer la verdure, la terre et les espaces sauvages, afin de rappeler aux hommes que c ‘est un tout petit espace de terre qui nous a été imparti et que nous ne faisons que survivre dans une immensité qui peut reprendre ce qu’elle a donné aussi facilement qu’elle peut déchaîner son souffle sur nous ou envoyer la mer nous dire de ne pas crâner.Si nous oublions à quel point la grande nature sauvage est proche de nous dans la nuit,disait mon grand-père,elle viendra un jour nous emporter,car nous aurons oublié à quel point elle peut être terrible et bien réelle.