Napoléon se livre à son passe-temps favori : la conquête. Le tout jeune empire poursuit son implacable expansion, renversant une à une les couronnes des pays voisins. Toutes les forces doivent être mobilisés dans le bras de fer avec l'Europe, ainsi le sémillant empereur veille-t-il soigneusement sur ses ressources... Il tente d'interdire les duels qui creusent des saignées dans les rangs de ses officiers. (p. 8)
- Eh bien, le moral semble bon, malgré vos craintes, maréchal.
- Le vent a tourné, Sire, grâce au colonel d'Hubert.
- D'Hubert... Faire ainsi battre en retraite le désespoir des troupes, c'est digne d'un général. (p. 104)
- Mais...L'histoire n'est donc pas finie?
-Je vois bien des couplets avant que ne s'achève cette étrange épopée. Armons nous de patience, une telle haine rend immortel.
- Une explication bien fantasque !
- Mais si poétique...
- Des hussards poètes ?! Allons, ils ne sont bons que pour les vers des champs de batailles ! (p. 35)