La grammaire que maîtrise Thompson est celle du combat à mort pour la première place. Le sport est pour lui un spectacle impitoyable, une usine à fabriquer des perdants magnifiques et des héros éphémères. Triche et coups fourrés à la première base. Pronostics et paris à la seconde base. Et que nos ennemis crèvent. Never apologize, never explain. (Nicolas Richard, « Thompson le sportswriter »)