Richard Happer

Ce beau livre publié en 2017 par Ouest-France présente une série de constructions humaines disparues suite à l’effondrement des civilisations, à des crises économiques, à des évolutions politiques, à des éruptions volcaniques ou à des glissements de terrain.

La victoire finale de la nature face aux ambitions humaines.

Tout ne revient pas à l’identique cependant, ces courtes présentations rappellent la pollution des sols ou de l’air (Pripiat, la cité modèle soviétique au pieds de la centrale de Tchernobyl, zone contaminée pour des décennies), et des bâtiments qui ne peuvent être réutilisés (l’aéroport de Mirabel à Montréal construit pour les JO de 1976 et aujourd’hui désaffecté – de manière générale que penser d’installations construites pour des événements comme les JO ou les expositions universelles, qui ne sont pas bâtis pour être réutilisés ?) ou même qui ne peuvent être détruits car contenant de l’amiante (le sanatorium de Beelitz prés de Berlin).



Restent des lieux fantomatiques, comme la gare de Canfranc (énorme bâtiment pour une gare internationale qui a peu fonctionné au cœur des Pyrénées) ou le monument de Bouzloudja (cette espèce de soucoupe volante posée sur un col des Balkan par le parti communiste bulgare pour magnifier son histoire).



La modernité a fait fuir les habitants de Saint-Kilda, île écossaise isolée, ou eux de Détroit (où comment une métropole bâtie sur la construction automobile est devenue une cité dont des secteurs complets sont à désertés, en pleine Amérique conquérante).



Les photos distillent cette impression d’abandon, d’oubli. Le lecteur rédécouvre où nul ne va plus (Leith Harbourg station baleinière en Géorgie du Sud, l'hôtel del Salto en Colombie prés d’une cascade touristique, Varosha, station balnéaire située sur la ligne verte partageant Chypre…).



Une belle balade sur notre terre qui fait réfléchir.

C'est la première fois que je lisais cette édition de The Times avant j'avais lu Monstres de légende et Fantômes et apparitions dans un coffret celui du paranormal Time-life. Ensuite, je me suis rendu compte que le livre des Survivants de l'extrême était séparé en cinq sections: Survie, prisonniers, guerre, naufrages et otages. Dans celui de survie, je me suis rappeler avoir lu plusieurs livres ou films qui en font mention: Désastre du côté sombre de la lune le film Apollo 13 sortie en 1995 avec Tom Hanks, Le coût horrible de la survie inspiré de la biographie de Les Survivants de Piers Paul Read qu'on retrouve à la fin dans la bibliographie ainsi que le film Alive sortie 1993, Coincé ou le film de 127 heures sortie en 2010 que je n'ai pas vu, Miracle sur l'Hudson avec le film Sully sortie en 2016 avec Tom Hanks encore une fois lui aussi il manque à ma liste, Retour du centre de la Terre ou la biographie les 33 écrit par Hector Tobar ou le film sortie en 2015. Par la suite avec la section Prisonniers, Les évadés d'Alcatraz je penses au film avec Clint Eastwood sortie en 1979 et Papillon qui lui s'inspire de la biographie de Henri Charrière qu'on retrouve dans la bibliographie quand au film il est sortie en 1973 et la nouvelle version en 2017. Pour la Guerre, La grande évasion tout le monde a vu le film de 1963 qui est inspiré de Great Escape de Ian Crofton que je n'ai pas lu hélas ! Pour le Naufrage, le titre La baleine le Pacifique a inspiré un romancier Herman Neville avec Mody Dick mais c'est le livre de Nathaniel Philbrick: La véritable histoire de Moby Dick qui remet les pendules à l'heure. Pour finir avec la section des Otages: La riposte des otages où un autre film de Tom Hanks avec Capitaine Phillips sortie en 2013 réaliser par Clint Eastwood. Ouf ! Je ne m'attendais pas à trouver autant de livres ou de film pendant ma lecture. J'ai trouvé très instructif et même palpitant. Si comme moi, vous voulez savoir combien d'oeuvres ont découlé de ses tragédies alors lisez-le.

Petit livre extrêmement sympathique, acheté directement en Ecosse qui regroupe 365 faits d'armes d'écossais. En lisant quelques anecdotes de temps en temps, j'ai pu faire durer ce livre un moment et apprendre deux ou trois choses, parfois sérieuses, parfois loufoques (pour ne pas dire bizarres). Par exemple : la première personne assassinée par arme à feu était écossaise… Instructif ! Tout comme le fait que Mr Lipton aimait le thé. On a du marrant, on a de l'incongru entre autres découvertes ou prouesses. Au passage, quelques mots purement écossais qu'il faudra essayer de prononcer avec l'accent.



Ce que j'ai retenu, c'est une date primordiale : le 18 mai est la journée mondiale du whisky. Cheers !