— Pourquoi t’arrêtes-tu ici ?
Robert, sourire jusqu’aux oreilles lui indiqua du doigt la maison.
— Bienvenue à la maison, Madame Beaujean !
Elle resta bouche bée quelques instants puis insista auprès de son mari.
— C’est vraiment notre maison ? Mais… elle est magnifique !
Marjorie revenait de loin, elle qui s’imaginait déjà vivre dans une masure, elle simula une colère et martela de ses petits poings les larges épaules de son mari.
— Espèce de salopard tu m’as bien eu ! J’étais mortifiée à l’idée d’habiter dans une bicoque, mais qu’elle est jolie ! Qu’en penses- tu Ben ?
— Ouais, c’est une maison quoi…
— Pourquoi t’arrêtes-tu ici ?
Robert, sourire jusqu’aux oreilles lui indiqua du doigt la maison.
— Bienvenue à la maison, Madame Beaujean !
Elle resta bouche bée quelques instants puis insista auprès de son mari.
— C’est vraiment notre maison ? Mais… elle est magnifique !
Marjorie revenait de loin, elle qui s’imaginait déjà vivre dans une masure, elle simula une colère et martela de ses petits poings les larges épaules de son mari.
— Espèce de salopard tu m’as bien eu ! J’étais mortifiée à l’idée d’habiter dans une bicoque, mais qu’elle est jolie ! Qu’en penses- tu Ben ?
— Ouais, c’est une maison quoi…
— Donc pour toi c’est impossible, sans même essayer! Et que fais-tu de la devise que je t’ai inculquée chaque fois que tu avais des difficultés “ ils ne savaient pas que c’était impossible, alors… Ils l’ont fait !”
— Mais papa, si tu te plantes ?
Robert lui mit une main sur son épaule et le regarda droit dans les yeux.
— Gamin, il vaut mieux partir sur un échec que sur des regrets, ça aussi je te l’ai enseigné, et puis de toutes façons qu’ai-je à perdre ? Rien !
Il est 8 h 00, le jour se lève timidement sur le domaine de Rouvac, dans le Limousin, les bruits nocturnes de la forêt qui entoure le château s'évanouissaient progressivement, tandis qu'une légère brise eut tôt fait de dissiper la brume qui nappait les pelouses et l'étang aux esturgeons.
ils ignoraient que c'était impossible, alors...ils l'on fait !!!