Il était des compositeurs qui, encore au dix-huitième siècle, n'avaient rien laissé d'autre derrière eux qu'un acte de baptême. Même Beethoven ne possédait pas d'extrait de naissance. Peter, lui, laissait partout des empruntes de pas. Dans trois cents ans, on pourrait découvrir quelle version de La Carrière du Libertin il avait acheté en ligne.