Je comprends la nature de l'avidité. Je suis persuadé que c'est là l'essence de la terrible vérité de notre temps: il ne reste plus tout à fait assez de la plupart des choses, plus assez de quoi que ce soit. Sauf peut-être une chose - douce, et déconnectée de tout -, mais je serais incapable de dire laquelle, d'en donner la nature exacte.