Rihito Takarai

Un manga qui aura su me surprendre pour sa qualité et son intrigue originale. Enfin... on n'a peut-être déjà vu ce genre d'histoires, mais à travers les personnages et leur personnalité, j'ai trouvé qu'on l'abordait sous un jour nouveau. J'ai dû relire le premier tome pour me lancer dans le second et ne perdre aucun détail en cours de route, et j'ai trouvé l'évolution de leur relation assez juste finalement. Les personnages sont attachants et ils se dévoilent petit à petit à travers cette relation qu'aucun des deux n'attendaient.



Une histoire courte que j'ai trouvé très convaincante et que je relirai sans hésiter à l'avenir !

Un manga yaoi qui met au coeur de son intrigue amoureuse une maladie, assez peu connue ou invisibilisée, la mysophobie : soit la peur d'être contaminé par des microbes.

Ce qui, de facto, impacte fortement le quotidien de l'un de nos protagonistes qui en est atteint, Shirotani.



Cette série a donc une accroche originale qui va permettre d'explorer les sentiments, peurs et passés des deux protagonistes, y compris donc Kurose, un psychiatre qui tente d'aider Shirotani à se désensibiliser.

Mais le fait-il pour les bonnes raisons ?



Un avis complet à découvrir sur mon compte Instagram @valhall_arena
Lien : https://www.instagram.com/p/..

La découverte de la mysophobie (peur d’être contaminé par des microbes) et le handicap que cela crée pour vivre dans notre société sont très intéressants.



Ce manga va un peu vite à mon gout que ce soit dans la relation entre les personnages ou dans les étapes de "guérison" du protagoniste. Et c'est dommage !

Ca gâche quelque chose ; ça rend "irréaliste" et peu crédible l'avancée de l'histoire.



Les personnages sont toute de même attachants et certains situations, comme celle du métro sont plutôt biens ficelées. ;)

MOUAIS



Je reste très mitigé après la lecture de ce troisième opus.

C'est dommage d'être parti sur une relation type maître/dominé.

Le premier tome ne laissait pas vraiment envisager cette voie , même si le maître est assez doux à moins que nous soyons dans un pervers narcissique qui se révélera plus sombre dans les tomes suivants. Mais vais je lire la suite ?

Une romance adorable !



Je suis très difficile en termes de romances BL que je trouve toujours hyper maladroites... Mais cette série m'a énormément plu !



Déjà j'ai trouvé les dessins superbes et l'histoire slow, soft et douce est tout ce que j'espérais.



Mais le manga ne se limite pas à la romance car on y parle d'emprise et de dépendance affective, aussi.

Et de fleurs ! J'ai bien aimé l'ambiance botanique (bien que ce soit assez anecdotique pour l'intrigue).



La demi étoile en moins, c'est pour la même chose que d'habitude, à savoir : le consentement pas hyper clair. Seul le manga qui donnera nettement l'impression que personne ne se force à rien, aura droit aux 5...

DEÇU



Après un premier tome que j ai trouvé bien, c'est un avec enthousiasme que j ai commencé ce deuxième tome.

Si le début continue dans la même veine que le précédent, la suite s' emballe et tout va trop vite. On perd le côté doux, pas à pas qui faisait le charme du début.

Les personnages restent attachant c est déjà ça.

MIGNON



Premier livre de l'année 2024.

Un ton gentillet, des personnages gentils attachants comme le sont ceux des contes de Noël.

Pas de pretention, juste des bons sentiments, du temps qui s'écoule gentiment façon fleur bleue.



Un livre idéal pour cette période.

Nous retrouvons Lucas et Abel, travaillant sur un chantier pour les Graineliers. Nicolas, recherchant des porteurs de graine parmi les ouvriers, en découvre 4, dont Lucas. Il les enverra au quartier général, mais le trajet ne se déroulera pas comme prévu, révélant que Nicolas ne semble pas être ce qu'il est, et une nouvelle perspective s'ouvre à Lucas. Quant à Abel, il veut tenter le tout pour le tout, pour sauver son père et Lucas.



L'intrigue continue sur sa lancée, nous maintenant dans le doute quant au sort réservé à Lucas, et si quelques réponses nous parviennent sur le premier tome, de nouvelles s'ajoutent.

Lucas vit dans un village de campagne avec son père. Mais un jour, son père se fait arrêter par l'Organisme de Recherche des Graineliers. Ce dernier demande à Lucas de se sauver, et d'avaler des graines qui sont sensées le sauver. Lucas s'exécute. Son ami Abel, alerté par les bruits, retrouve Lucas évanoui, et le recueillera chez lui ....



Le résumé de l'histoire m'avait intriguée, et après avoir lu ce premier tome, je suis conquise. Le graphisme fin et épuré permettent de mieux exprimer les sentiments des personnages. L'ambiance et l'intrigue sont posées. Que va devenir Lucas après avoir mangé les graines ? Aura-t-il des pouvoirs ? Que va t'il arriver à Lucas et Abel ?

La rencontre avec la personne du passé n'aura pas aidé à avancer Shirotani mais juste pour l'échange entre Kurose et cette personne, ça valait le coup. Kurose fait la paix avec son passé, Shirotani est sur le chemin (long) de la guérison. La relation semble apaisée, moins toxique et permet aux deux personnages d'avancer. Pourquoi pas. Une série sympa mais très perfectible.

Le rapport dominant/dominé s'estompe mais me pose toujours problème. Shiratoni semble aller mieux bien qu'il soit sans arrêt à devoir dépasser ses limites. Ce tome se concentre sur Kurose, sur les raisons de sa profession. Qui du patient ou du psychologue a finalement le plus besoin d'une thérapie ? La dernière planche augure un dernier tome assez explosif et un beau final.

Si on occulte le premier chapitre, ce tome est meilleur. On y apprend les causes de la maladie de Shirotani (et on comprend vraiment pourquoi il a développé un trouble). Les échanges entre Shirotani et Kurose sont moins toxiques que dans les tomes précédents et ce dernier semble moins joué de son "pouvoir d'emprise" en mettant des limites à Shirotani (si on oublie les 2 dernières pages).

Encore une fois, la relation qui se construit à base de syndrome de Stockholm me met mal à l'aise. Kurose précipite les choses, fait son jaloux et son possessif, et Shirotani est au bord de l'implosion à devoir sans arrêt dépasser sa zone de confort. L'autrice rattrape ce tome avec un début d'explication quant à la maladie de Shirotani en nous proposant une incursion dans son passé, intéressant !

Et, on arrive finalement pile où je ne voulais pas aller : une relation soumis/maître enrobée par une romance entre un patient et son médecin. Kurose est parfois bienveillant mais il a un sacré souci avec la notion de consentement et son comportement de "nice guy" n'aide pas vraiment Shirotani à se détendre. J'espère voir les choses s'améliorer dans les tomes suivants.

J'ai mis du temps à me lancer dans cette série que je vois passer depuis des années par peur de voir une romance toxique se développer. Ce premier tome est surprenant puisqu'il se concentre surtout sur la maladie de Shirotani et les premiers pas de sa thérapie pour aller mieux. Kurose semble attentionné et professionnel même si son rapprochement tend à vouloir plus qu'une amitié avec Shirotani.

Sur les conseils avisé d’une amie j’ai entamé la lecture de Graineliers de Rihito Takarai connu pour les titres tel que Seule la fleur sait ou encore 10 Count (Amis Yaoist je vous vois 😜) Avec cette œuvre l’autrice change de registre pour nous présenter un Seinen/Shonen assez original. Son coup de crayon est toujours aussi sublime, regardez moi ces couvertures 😍

*

🌱 Mon Avis 🌱

*

J’ai commencé ma lecture sans grandes attentes, par peur de ne pas accrocher à l’histoire, a l’univers fantastique, ces histoires de graines me questionnait, comment cela va être utilisé dans le récit ? Des graines, mais pourquoi ? Et bien finalement j’ai beaucoup aimé 🥰

*

Le coup de crayon est sublime, l’histoire est bien menée, on a des explications quand il faut et une part de mystère qui nous tient en haleine, tout est bien dosé. Les personnages sont touchants, l’histoire de Lucas est assez tragique mais cela ne l’a pas fait pour autant tourné « méchant », il reste ouvert et sensible. On s’attache également aux personnages secondaires. ON EN PARLE DE LEURS BEAUTÉS ?! ABSOLUMENT TOUS LES PERSONNAGES SONT BEAUX ! Oui, bon, cela n’a aucun rapport, je sais, pardon -_-

*

Rihito Takarai nous amène dans un univers fantastique aux allures médiévales. Malgré la délicatesse des traits nous parvenons à voir au fil des pages la noirceur du récit. Une société où l’existence de tous n’a pas lieu d’être. L’autrice nous dépeint un monde où le malheur et la détresse sont omniprésent dans l’existence de certains.

*

Si vous cherchez un shonen original, mystérieux, fantastique avec un dessin sans accro, vous l’avez trouvé ! 😁
Lien : https://www.instagram.com/p/..

« Il vaut mieux prendre le risque d’être déçu, plutôt que de regretter de n’avoir rien fait lorsqu’on en avait encore la chance... » Yôko



Motoharu et Akira, deux amis d’enfance, éprouvent l’un pour l’autre des sentiments romantiques, intenses. Malheureusement, avec leurs épaules écrasées par la pression familiale, il se peut que la fleur qui les unit ne puisse jamais éclore véritablement...



🌸Si vous y distinguez une forte ressemblance avec la trilogie « Seule la fleur sait », c’est tout à fait normal : il s’agit du quatrième tome mystère, un spin-off bonus, qui propose non pas un arc mais deux arcs.



Arc 1, préquelle : nous avons l’histoire de Motoharu et Akira, tous deux « apparus » dans la trilogie. Seulement, là, nous les découvrons durant leur période d’adolescence, dans une époque hiératique où les mariages arrangés étaient monnaies courantes. Avec cette information en tête, il est évident que l’amour qui unit Motaharu à Akira est hélas impossible. Toutefois, il est beau de constater que, peu importe combien ils étouffent leurs sentiments avec lucidité mais souffrance, le lien qui existe entre eux demeure imbrisable. Personnellement, j’ai été marquée par leur histoire teintée de mélancolie mais de douceur.



Arc 2, suite : puis nous avons l’arc futur, dans lequel nous retrouvons Arikawa et Misaki. Impossible pour moi de vous retracer leur intrigue, sinon je risque de vous spoiler la fin du tome 3 si jamais vous comptez découvrir un jour cette trilogie. Je peux seulement dire que je ne suis pas du tout déçue, puisque cet arc, scindé en deux grands chapitres, comble en profondeur tous les trous creusés par le troisième tome.



En parlant de profondeur (sans jeu de mot !), ce quatrième tome est bien orienté « Yaoi ». Ici, la scène de sexe principale est plus détaillée mais, fort heureusement, elle illustre avant tout les sentiments qui palpitent entre nos deux protagonistes, d’où le fait que cela m'a attendrie !



Conclusion : poignant et fort en émotions, « Fleurs et sens « se révèle être une conclusion parfaite à « Seule la fleur sait », de par ses messages et ses dessins poétiques ! En somme, un beau pétale de plus. ❤️

« Chaque jour que je passe avec toi... est comme une nouvelle fleur qui pousse. » Misaki



L’histoire retrace la vie de deux étudiants opposés l’un à l’autre. Nous avons Arikawa, un garçon optimiste et détendu, puis de l’autre côté Misaki, un adolescent taciturne et passionné de la botanique. Un jour, les deux jeunes hommes sont amenés à se rencontrer, puis à se recroiser et, pour une étrange raison, Arikawa se trouve attiré par la timidité maladive de Misaki, jusqu’à en ressentir l'envie de le découvrir...



🌸« Seule la fleur sait » est, comme bon nombre d’histoires que j’ai lues, une exception, puisque si j’aime beaucoup écrire et découvrir des romans MxM, j’ai en revanche beaucoup de mal avec plusieurs mangas Yaoi : trop proches de la pornographie, consentement pas respecté, le seme au menton carré et le uke androgyne... (coucou Junjou Romantica et compagnie...)



Bref, tout cela pour dire que « Seule la fleur sait » correspond à mes préférences : sentiments purs mis en avant entre deux personnages et, bien sûr, la présence du consentement.



Alors oui, l’histoire se révèle être excessivement simple ici. Pas de fantasy, pas de drames à fond. Non, une histoire d’amour qui s’épanouit telle une fleur, d’une façon posée et sincère. Malgré les remises en question des deux personnages concernant leur homosexualité et les enjeux qui gravitent autour (préjugés, craintes...), « Seule la fleur sait » démontre avec efficacité que, peu importe notre genre, il est compliqué de museler nos sentiments, qu’il est vital de les accepter tout en surmontant les problèmes qu’ils engendrent, comme la jalousie et la peur.



Concernant les deux protagonistes, je les ai beaucoup aimés : Arikawa, même s’il paraît un peu rentre-dedans, est très spontané et a la joie de vivre, tandis que Misaki est un personnage masculin doux et très attachant. C’est d’ailleurs ce dernier qui m’a le plus marquée pour son côté réservé et craintif qui me parle énormément.

Quant à leur relation amoureuse, si elle se développe assez rapidement, elle reste cependant adorable à suivre, non superficielle, et on a surtout le consentement et la patience mis en avant. Ici, Arikawa attend que Misaki lui ouvre son cœur, ce qui m’a rassurée pendant ma lecture !



Alors oui, dans le tome 3, deux scènes de sexe y sont incluses et si elles sont plutôt assez détaillées, elles ne sont pas gratuites, puisqu’elles évoquent la découverte et, surtout, elles mettent toujours en avant les sentiments des deux protagonistes. Ici, pas de passion crue, mais seulement et uniquement de la tendresse à l’état pur.

Bien sûr, je n’oublie pas les dessins qui sont magnifiques, notamment les expressions des personnages qui sont mises en évidence, ainsi que l’ambiance chaleureuse qui y règne grâce à la présence de la nature. C'est d'ailleurs ce style de dessin qui m'a poussée à découvrir cette histoire !



Conclusion : « Seule la fleur sait » est clairement mon manga « Boy's Love/Yaoi » préféré de tous les temps pour sa douceur et sa simplicité, une véritable perle que je ne peux que vous conseiller si vous cherchez à cueillir une romance à la fois légère et touchante.

Cette histoire qui se passe sur un campus universitaire est très gentillette. Cependant, j'ai été plutôt touché par la relation entre les deux personnages. Visiblement, le protagoniste principal a beaucoup de succès avec les filles mais l'amour véritable ne se commande pas. On peut être touché d'autant que le graphisme est assez agréable. Une belle couverture également.



Seule la fleur sait et connaît ton cœur. C'est poétique dans un style assez classique. Les personnages sont attachants. Bref, un peu de douceur car tout se fait dans une apparente légèreté innocente. Cela restera très soft: on appelle cela le yaoi blue. Tout est en nuance et en équilibre.

Déçue par ce manga yaoi.

Dommage car l'idée de la mysophobie était sympa, elle aurait pu être mieux développée. L'idée des 10 challenges était bonne aussi, mais pas assez mise en valeur non plus.

L'intrigue est trop lisse, c'est gentil, limite ennuyeux.

L'artitisque est moyen, trés moyen, on a vu mieux.