Je sais ce que tu penses, Norman, je sais tout de toi, mon petit. Plus que tu ne le crois, car je sais même ce que tu imagines. Tu penses que tu voudrais bien me tuer, n’est-ce pas, Norman ? Mais tu ne peux pas me tuer. La force, c’est moi qui l’ai. Je l’ai toujours eue. J’en ai eu pour nous deux. C’est pourquoi tu ne te débarrasseras jamais de moi, même si tu le voulais vraiment. Bien sûr, en ton for intérieur, tu n’en as pas véritablement le désir. Tu as besoin de moi, mon petit. C’est ça, la vérité, n’est-ce pas ?