La décision de ne plus considérer le français comme langue diplomatique de référence, au moment du traité de Versailles, nous avait bien montré la disparition de sa prédominance, mais nous avions le ferme espoir, en ce temps-là, que notre pensée et son expression bénéficieraient d'une nouvelle faveur grâce à nos gloires militaires et au triomphe des idées démocratiques et de la volonté du progrès social.
2451 – [Le livre de poche n° 4890, p. 278]