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Citations de Robert Muchamore (338)


-Tu peux m'expliquer ce que tu fais? demanda Amy.
-Jamais de la vie. Tu te moquerais de moi.
Elle agita rapidement les doigts.
-Ne me force pas à te chatouiller à mort.
-OK, mais promets-moi de ne pas rire.
-C'est juré.
-C'est la qu'on s'est embrassés pour la première fois, Joanna et moi.
-Oh , c'est trop mignon.
Ewart mit deux doigts dans sa bouche et fit mine d'être sur le point de vomir.
-Vous aviez promis, protesta James, indigné.
-Moi? Je n'ai pas dit un mot.
-J'ai hâte de raconter à Kerry ta petite aventure avec Joanna, lança Amy.
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- C'est quoi, le sujet de ton devoir?
- La fondation de l' Intelligence Service et son rôle au cours de la Première Guerre mondiale.
- Intéressant.
- Je préférerais avaler un saladier de lombrics.
- Je crois que je pourrais t'aider, mon petit. J'ai mes vieilles notes et une rédac toute faite dans mes archives.
- Merci, vieux. Tu me sauves la vie.
- Ca nous fera dix livres.
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- J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. Par quoi je commence ?
Lauren haussa les épaules.
- Je m'en fous. Allez, vide ton sac.
- La mauvaise, c'est que ton père est à la maison. La bonne, c'est que maman m'a filé du fric pour acheter à dîner. Il devrait s'être barré avant notre retour.
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- La mère de James est si grosse qu'elle doit beurrer les bords de sa baignoire pour ne pas rester coincée.
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- Au moins, moi, je suis déjà sorti avec une fille, lança James. Tu as presque quinze ans et je ne t'ai jamais vu avec une copine.
Kyle prit l'air offensé.
- J'ai déjà eu des petites amies.
James sourit. Il avait réussi à pousser son camarade dans ses derniers retranchements.
- Je te précise que les nanas que tu tripotes dans tes rêves ne comptent pas, tête de noeud.
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- Il y a une grosse mission dans l'air et j'ai été désigné agent senior. On a besoin de trois autres équipiers. J'en ai discuté avec Ewart Asker, et il y a une place pour toi, si ça te branche.
James ne se montra pas très enthousiaste.
- Je ne veux plus travailler avec Ewart comme contrôleur de mission. C'est un psychopathe.
- Pourtant, il t'adore. Il pense que tu as fait un boulot sensationnel lors de ta première opération. En plus, sa femme sera des nôtres. Devant elle, c'est un véritable agneau.
- Et le reste de l'équipe?
- Moi. Kerry,si elle se remet comme prévu. Il y a une place pour une autre fille. J'avais pensé à Gabrielle, mais elle est retenue en Afrique de Sud.
- Nicole Eddison, lâcha James.
- Qui ça?
- Tu la connais. Elle faisait partie du même programme d' entraînement initial que moi, et elle a abandonné au bout de vingt-quatre heures. Elle a obtenu le T-shirt gris à sa seconde tentative. Je crois qu'elle a déjà participé à une ou deux missions.
- Je vois de qui tu parles. C'est cette fille avec une énorme poitrine?
- Enorme et magnifique, précisa James avec un large sourire.
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" James, nous luttons contre des terroristes et des narcotrafiquants. Un garçon de douze ans n'a aucune chance de nous berner."
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- Qu'est-ce que la chausette de ton copain fout dans mon pieu ?
- Ah, tu l'as retrouvée... répondit Kyle sur un ton parfaitement neutre. On l'a cherchée partout.
- Ne me dit pas que vous avez utilisé mon matelas pour faire... tu sais... des trucs gay ?
- Et où tu voulais qu'on s'assoie, dans ce placard ?
- Vous pouviez aller sur ton lit, dit James.
- Tom est plutôt balèze. Le lit se serait écroulé si on était montés tous les deux ici.
- Mais qu'est-ce que vous avez fait exactement dans mon plumard ?
- On est sortis ensemble, rien de plus.
- Et pourquoi vous avez retiré vos vêtements ?
- Pas tous nos vêtements. Il faisait au moins trente degrés. Tu voulais quoi ? Qu'on mette des anoraks ?
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Les vieux du village avaient bâti la plupart des huttes de leurs mains. Ils s’y entendaient en plomberie et en électricité. Les instructeurs et les recrues s’’émerveillèrent de leur capacité à rétablir le fonctionnement normal de leurs habitations. Dans des circonstances comparables, les Anglais ne savaient que se rassembler dans les gymnases et les églises en attendant passivement le chèque de leur compagnie d’assurance.
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Je me souviens du bon vieux temps où nous étions innocents, l’époque où le moindre smack constituait le scandale de la semaine. Quand est-ce qu’on a grandi ? Je n’ai rien vu venir. Dans cinq ans, la moitié d’entre nous seront mariés. Tout ce qui nous intéressera, c’est de dénicher la tondeuse de nos rêves dans le catalogue Argos.
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Je me suis pas débiné, protesta James, indigné. J’ai opéré un repli stratégique pour me soustraire au feu ennemi, nuance.
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- Eh, tu ne me reproches pas d'avoir cassé tes oeufs, quand même ?
- T'inquiète pas. Tu connais son caractère. Ca lui passera.
- Je risque de ne pas avoir le droit de fourrer ma langue dans sa bouche pendant quelques jours, mais au moins, on est sûrs d'échapper aux dix kilomètres de couse commando.
- James, je ne veux pas savoir ce que tu fais de ta grosse langue visqueuse. Pigé ?
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Vous savez ce qu’il y a de pire qu’une femme en colère ? Une femme en colère avec une matraque.
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(…) Tu dois me promettre quelque chose, si tu veux vraiment qu’on sorte ensemble.
Quoi ?
A partir d’aujourd’hui, tu changeras de chaussettes et de caleçon tous les jours. Compris ?
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— Tu te souviens du bouquin de Shakespeare qu’on a laissé sur la plage ?
— Ouais.
— Je crois que c’était notre papier-toilette.
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Je ne connais que la Californie, les palmiers, les centres commerciaux et la Silicon Valley. J’ai appris à marcher sur la plage, tu comprends ? Maintenant, il faut que j’aille vivre chez des paysans dont la principale distraction consiste à jouer au foot avec une tête de chèvre.
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Si la troisième guerre mondiale avait éclaté au cours des trois mois qui venaient de s’écouler, il n’en aurait rien su. Les choses ne semblaient pas s’être améliorées. Les gens continuaient à s’entre-tuer sans raison et les politiciens en costumes sinistres persistaient à ne pas répondre aux questions qu’on leur posait.
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- Vous êtes nouveau ? demanda la femme.
- Oui, c'est mon premier jour de boulot. Je viens d'arrêter le lycée. Je m'appelle Eric Cartman. Enchanté de faire votre connaissance.
- Je suis Eileen Rice.
- Qu'est-ce qui vous fait marrer ? demanda Kyle.
- Eric Cartman, sourit Tom. Trop marrant.
- Qu'est-ce que ça a de drôle ?
- C'est le nom du petit gros dans South Park.
- Oh merde ! Je ne me rappelais plus. Je me disais bien que ce nom me disait quelque chose...
- T'inquiète. Vu son âge, cette nana ne doit regarder que des soap operas à la con.
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Oh ! Ne me dis pas que tu as la pression, un grand garçon comme toi ? Ricana-t-elle.
Pourquoi on s’inquiéterait ? Répliqua Kyle. Tout ce qu’on a à faire, c’est de se laisser conduire vers un endroit inconnu, de saboter un plan dont on ignore tout et de démanteler un groupe de terroristes fanatiques, surarmés et plein aux as.
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Cette scène figurait à l’origine à la fin du chapitre 35 de 100 jours en enfer. Elle se déroule après la bagarre qui a opposé James à Stuart et Gareth. Elle explique la colère d’Ewart dans la scène suivante. Malheureusement, le roman étant trop long, ce
passage a dû être supprimé.
James, Gareth et Stuart patientaient à l’extérieur du bureau de la prof principale.
Le nez de Gareth portait des traces de contusions et de brûlures. Stuart, visiblement
mort d’inquiétude, contemplait fixement la pointe des baskets. Les bras croisés, James considérait les deux garçons avec un petit sourire amusé. C’était l’un des avantages de
travailler pour CHERUB : la possibilité de commettre des actes répréhensibles sans devoir en affronter les conséquences.
Joanna passa la tête à l’extrémité du couloir. S’étant assurée qu’il n’y avait pas de profs en vue, elle s’approcha de James et l’embrassa fougueusement sur la bouche.
— Tu es un vrai bad boy, gloussa-t-elle. Toute l’école ne parle que de toi.
James jeta un regard méprisant sur Gareth et Stuart.
— Ces connards méritaient une bonne branlée.
— Tu vas voir ce que tu vas prendre, répliqua Stuart.
— Toi, ferme-la, si tu ne veux pas que je t’achève.
Joanna tendit à James un Coca et un Bounty.
— Tiens, j’ai pensé que tu devais crever la dalle, dit-elle. À tout à l’heure, dans le bus.
James s’assit sur une chaise en plastique et retira l’emballage de sa barre chocolatée. Alors, il remarqua que des larmes roulaient sur les joues de Stuart.
— Wow, lança-t-il. On dirait que tu fais moins le malin.
Ulcéré, le garçon se rua sur lui. James lui tordit le poignet derrière le dos.
— Tu veux que je te casse le bras, pauvre nain ? rugit-il.
S’étant assuré de la soumission de son adversaire, il le libéra puis lui adressa un violent coup de pied aux fesses.
— Franchement, les mecs, vous ne tiendriez pas cinq secondes dans un collège de Londres.
Stuart s’effondra sur le sol en pleurnichant. S’il ne lui avait pas marché sur la tête deux jours plus tôt, James aurait presque eu pitié de lui. La prof principale ouvrit la porte à la volée.
— C’est pas un peu fini, ce vacarme ? Allez, entrez, vous trois.
Les trois garçons prirent sur les chaises alignées sur devant le bureau. James saisit un stylo à plume qui traînait à portée de sa main et se mit à le tripoter nerveusement.
Le directeur, le proviseur et le surveillant était présents. Stuart versait toutes les larmes de son cœur, provoquant les ricanements de James.
— Ross, lança la prof générale, les lèvres pincées. Peux-tu me dire ce que tu trouves si amusant ?
Dans son ancienne vie, James s’était fréquemment trouvé dans de telles situations.
Cette fois, il s’en fichait royalement.
— Vous vous faites quoi, comme salaire ? demanda-t-il.
— Je ne vois vraiment pas ce que ça a à voir avec cette réunion.
— Je me demandais simplement si vous aviez les moyens de vous payer une opération de chirurgie esthétique. Parce que, franchement, y a du boulot.
La femme semblait au bord de la crise de nerfs.
— Tu sais, Ross, dit-elle, j’enseigne depuis trente ans, et c’est le pire dossier que j’aie jamais vu.
Au cours de la préparation de l’opération, Amy avait confié à James que le faux dossier qui avait été transmis à Gwen Morgan lui faisait une réputation de gibier de potence.
— Exclus de quatre établissements, incendie volontaire sur la personne d’un prof de sciences naturelles, meurtre et actes de barbarie commis sur la mascotte du collège, une tortue, en l’occurrence. Ta place n’est pas ici, mais en prison.
— Finalement, vous seriez peut-être pas mal si vous perdiez vingt ou trente kilos.
À ce moment précis, le stylo plume que James était en train de manipuler se brisa en deux, et l’encre gicla sur le bureau.
— Oups, la boulette, lâcha-t-il.
La femme bondit de sa chaise et se mit à hurler :
— Hors de ma vue, immédiatement !
James quitta la pièce d’une démarche nonchalante, ravi d’en avoir fini pour toujours avec le collège Gwen Morgan.
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Pour quelle raison, au début de l'histoire, se retrouvent convoqués James, Kyle, Connor, Callum et Gabrielle dans le bureau de McAfferty ?

Ils ont provoqué une bagarre dans un musée.
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Ils ont séché les cours.
Un soir, ils ont fugué pour se rendre en discothèque.

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