Sans le droit de vote, sans moyens d'influence particuliers, mais avec le sentiment naissant de leur identité et la volonté de l'affirmer, ces femmes du XIXe siècle créèrent des clubs auxquels elles furent nombreuses à s'inscrire pour réfléchir et s'organiser. Des clubs d'histoire, de voyage, de lecture, pour s'instruire et évoluer. (p. 103)