Choisir de sauver la vie à celui qui doit mourir, c'est vouloir partager son sort, car ici la volonté ne fait pas bouger les choses. Aucune décision ne permet de résoudre un problème, aucune prise de conscience, aucune idée ni aucun choix ne peut donner la sensation d'agir de la meilleure des façons. Quoiqu'on fasse, ce sera une erreur, pour une raison ou pour une autre. C'est ça, la vraie solitude.