se battre contre des forgisés me donnait l'impression de lutter contre des fantômes : je ne sentais aucune présence, je ne percevais pas la douleur que j'avais infligée au blessé, aucun écho de colère ni de peur ne m'effleurait l'esprit. C'était comme quand on claquait une porte : de la violence, mais pas de victime.