Alors les dernières lames quittent leur fourreau, dont celle de Robert qui s'écrie « à moi, Vaillante ! », car en bon fils de famille, il s'est cru obligé de donner un nom à son épée. La mienne en avait un aussi, hérité de mes pères, mais elle a fini au fond d'un canal, encore une longue histoire. Celle que je porte aujourd’hui n'est pas baptisée, elle s'appelle épée, libre à celui qui la reçoit dans la gueule de lui en donner un. (Gabriel Katz, Le mythe de la caverne)