Nietzsche professe en effet qu'il faut se méfier de toute pensée qui n'a pas mis les muscles à la fête ; il proclame qu' on n'écrit bien qu'avec ses pieds, et que les «culs- de-plomb», comme il les appelle, ne peuvent avoir que des idées qui leur ressemblent, lourdes, pesantes, maladroites. (p. 28)