Notre arrivée à la Nouvelle-Orléans fut une grande joie.Depuis New York, nous n'avions pas rencontré de séjour sympathique.Les cités du Texas, surgies de terre en quelques années sont d'immenses marchés.Tout y était sacrifié aux affaires, rien à l'agrément.
New Orleans au contraire avait un air de fête.Un tiers de la population parlait plus ou moins le français.