Je ne regrette pas les grosses sommes que j'ai dilapidées. L'idée d'être l'homme le plus riche du cimetière me répugne.
Je ne regrette pas les grosses sommes que j'ai dilapidées. L'idée dêtre l'homme le plus riche du cimetière me répugne.
" La dramaturgie linéaire du Bal des vampires se divise en deux parties reposant chacune sur un lieu précis : l'auberge et le château. L’époque, quant à elle, est suffisamment reculée pour réactiver le souvenir confus des légendes d’autrefois. Deux voyageurs attardés s'avancent dans un territoire hostile, la Transylvanie, nous dit la voix sépulcrale du narrateur en ouverture du film, région de vampires ! L’histoire qui commence est aussi le point final de la « quête » longue (« des années durant ») et « ô combien mystérieuse » d'un « cinglé ». De fait, l’incipit joue à la fois de l’effet d’annonce destiné à piquer la curiosité et de l’étrangeté d’une situation initiale qui devrait mener à la résolution de l’énigme. (...) "
Il y avait quelque chose d'étrangement passif dans sa nature - un refus de regarder la réalité en face. Je lui disais souvent qu'elle ressemblait à ce failli qui, pour échapper à l'huissier, se cache dans une armoire et se fait emporter à la salle des ventes avec le reste du mobilier.