Le problème, lorsqu'on a quelque chose de bien, remarque t-il, c'est qu'on s'y habitue et que, lorsqu'elle vient à nous faire défaut, cette chose nous manque plus qu'elle ne nous a profité au départ. On ressent la perte plus qu'on ne jouit de la possession. "C'est comme les relations amoureuses", dit-il.