Sa grand-mère lui avait dit un jour qu'on peut imputer aux gènes la responsabilité de la laideur et à l'éducation celle de l'ignorance, mais qu'être ennuyeux était rigoureusement inexcusable. L'école avait été ennuyeuse. (...)
Son unique salut se trouvait dans les films et les livres. Elle lisait comme si sa vie en dépendait. (p. 26)