AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782330073046
350 pages
Actes Sud (01/02/2017)
3.65/5   265 notes
Résumé :
Anthony Peardew a passé la moitié de sa vie à collectionner les objets perdus dans l'espoir de réparer une promesse brisée. Le vieil homme, autrefois écrivain célébré, décide de léguer sa demeure victorienne et les trésors qu'elle recèle à sa fidèle assistante Laura, sans se douter de l'heureuse suite de rencontres que cela va provoquer.
Avec sa galerie de personnages attachants et son intrigue savamment ficelée, un premier roman enchanteur, à l'humour et au... >Voir plus
Que lire après Le gardien des choses perduesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (72) Voir plus Ajouter une critique
3,65

sur 265 notes
Nous sommes en 1974 à Londres ( précisons que le roman se passe entre cette date et 2013).

Anthony Peardew attend sa fiancée, Thérése, qui est étonnamment en retard, hélas! Elle n'arrivera pas.......

Le coeur brisé, pour des raisons qu'il serait dommage de révéler, il passera le reste de son existence à "collecter" des objets trouvés au hasard de ses promenades.....
Il les étiquettera, les répertoriera et les rangera dans son bureau auquel personne n'aura accès durant des années.
Désormais , âgé, il décide de léguer sa belle demeure victorienne" Padua" et ses roses plantées avec Thérése, à sa fidèle assistante Laura, qu'il sent capable d'être la seule à respecter ses dernières volontés.
Ce premier roman surprenant à la jolie première de couverture, au charme et à l'humour" very British", avec " la bonne petite tasse de thé", recèle en réalité deux histoires.Elles se côtoient , paralléllement , avec brio , se rejoignant avec bonheur, en toute fin d'ouvrage.

Au sein de la deuxième histoire, Bomber, éditeur et Eunice, son assistante sont très complices, la passion du cinéma les réunit et nombre de références à des films et à la culture font partie de l'intérêt de l'ouvrage.

Enfin, la véritable histoire des "objets" récupérés par Anthony est dévoilée joliment , à chaque fois "en italique " avec inventivité et style hors pair.
Il y est aussi question de la maladie d'alzheimer .
Les objets perdus forment "la trame" du livre.
Un récit bien écrit, intelligemment construit.
Les dialogues sont facétieux et riches, les personnages ont quelque chose de délicieusement désuet et décalé avec un humour British, teinté de mélancolie, oú tendresse, douceur, affection, compréhension, entente procurent une ambiance agréable.
Une construction habile et fine, un ouvrage où l'on se sent bien , le final extrémement émouvant est original à souhait !
Un bien belle histoire de perte et d'amour sans mièvrerie, de vie et de mort, surtout de rédemption !
Comme toujours chez Actes Sud, ( un mes éditeurs préférés) il faut dépasser un certain nombre de pages pour "entrer " dans l'histoire !
Un premier roman qui promet !
Commenter  J’apprécie          518
Que dire de ce livre ? C'est un livre qui se lit lentement avec tendresse et "une bonne petite tasse de thé".
L'écriture est belle et teintée de poésie.
Les personnages nous sont d'emblée sympathiques et particulièrement Sunshine, jeune fille très attachante.
L'idée du roman est originale et bien "trouvée".
Alors pourquoi ne mettre que trois étoiles ? Et bien parce que je me suis parfois ennuyée lors des histoires des objets et je ne me suis jamais réjouie de retrouver ce livre qui, certes n'était pas perdu mais délaissé pour travailler.
Si ce livre se lit délicatement comme on boit "une bonne petite tasse de thé", je n'ai que très rarement eu le désir d'en reprendre une tasse d'où la lenteur pour terminer ce roman.
Commenter  J’apprécie          514
J'ai beaucoup aimé ce joli roman plein de douceur à l'image de sa couverture aux couleurs tendres. Il y a trois "niveaux" dans le livre, avec comme fil conducteur en quelque sorte, Antoine écrivain septuagénaire portant toujours le deuil de la seule femme qu'il a aimée et qui est morte brutalement des décennies plus tôt.
L'intrigue principale se déroule à notre époque, avec Laura qui vient d'hériter de son employeur, Antoine, une maison et les "choses perdues" qu'il conservait dans l'espoir de les rendre à leurs propriétaires. Dans ce cocon, la jeune femme retrouve peu à peu la confiance perdue dans un mariage désastreux et se recrée une famille de coeur tout en essayant de remplir la mission que lui a confié Antoine dans son testament.
Une autre partie du roman démarre en 1974, avec Eunice dont le chemin croise à plusieurs reprises celui d'Antoine sans qu'ils n'en aient conscience ni l'un ni l'autre. Elle vit une amitié exceptionnelle avec son employeur, un éditeur fan de cinéma, même si elle nourrit pour lui des sentiments amoureux sans espoir. J'ai trouvé leur histoire très triste.
Et s'intercalant dans les chapitres de Laura, il y a aussi de courts récits, des portraits des possesseurs des objets perdus recueillis par Antoine, sans qu'on puisse dire s'il s'agit vraiment des faits tels qu'ils ce sont déroulés ou si ce sont des extraits des nouvelles qu'Antoine a publiées en s'inspirant de ces objets.
La plume de Ruth Hogan m'a beaucoup plu, en particulier la manière dont elle développe ses personnages, à petites touches, avec tendresse. Sunshine est particulièrement touchante avec son caractère entier et chaleureux, et sa façon de réemployer "à sa sauce" les expressions courantes est très amusante.
J'ai passé un bon moment avec le Gardien des Choses Perdues, même si la partie où le fantôme fait des siennes m'a paru un peu longue et m'a un peu moins plu.
Commenter  J’apprécie          310
Dans les 50 premières pages, j'ai eu très peur ! Je me suis dit : me voilà dans un livre « feel good » qui va très vite s'enfoncer dans les clichés et la mièvrerie. MAIS c'était sans compter sur le flair d'Actes Sud pour détecter le potentiel de ce nouvel auteur. Mes plus plates excuses pour avoir douté d'un de mes éditeurs préférés !

Car, voyez-vous, je m'y suis installée dans ce livre, bien au chaud, hors du temps, dans cette magnifique propriété de Padoua dans laquelle je me verrais bien vivre. L'ambiance est définitivement très british, avec le côté démodé en prime, « la bonne petite tasse de thé », chère à Sunshine, un personnage trisomique très attachant.

Le roman est intelligemment construit et permet de suivre facilement deux histoires parallèles qui se font magnifiquement écho en fin de roman.

Dans l'une, nous suivons Anthony Peardew, auteur de nouvelles qui, pour une raison que je ne vous dévoilerai pas, collecte et répertorie les objets qu'il trouve dans la rue. C'est lui, le gardien des objets perdus. Et comme il est écrivain, il invente pour chaque objet une histoire.
Le roman est construit de telle manière qu'en italique est relatée à chaque fois, la véritable histoire de l'objet. Des histoires dans l'histoire en quelque sorte …. Très bien fait, un régal d'inventivité et de style!
Antoine Peardew engage une assistante, Laura, pour l'aider à gérer ses affaires . Il finit par lui léguer sa charmante propriété de Padua et son étrange collection.

Dans l'autre, nous partageons la douce complicité de Bomber, éditeur, et d'Eunice, son assistante. Nous les suivons, à intervalles réguliers, sur plusieurs dizaines d'années. La passion du cinéma, entre autres, les réunit et leurs échanges sont émaillés de dialogues et de références à des films connus …. Une autre très bonne idée, j'ai apprécié.

La sensibilité du livre, des personnages et des thèmes abordés est magnifiquement rendue par la traductrice, Christine le Boeuf, veuve du regretté Hubert Nyssen, fondateur d'Actes Sud.
Elle a mis toute son expérience et son talent au service de ce texte.

Résultat de l'étrange alchimie de ce livre : un « je ne sais quoi » et un « petit plus » qui me laissent sous le charme, sans pouvoir bien expliquer pourquoi. Un beau petit moment de lecture, vraiment.
Commenter  J’apprécie          264
Anthony Peardew, un écrivain, a la surprenante habitude de collectionner les objets perdus dans la rue, les parcs, les trains. Il compose des étiquettes très détaillées, comportant description, lieu précis, moment de la découverte, avant de les entreposer dans son bureau avec l'espoir de retrouver un jour leur propriétaire. C'est ainsi qu'il devient « le gardien des choses perdues ».
Dès les premières pages du livre, j'ai l'impression d'avoir découvert la porte secrète qui mène à un univers enchanté. Je suis transportée dans un autre monde dont j'ai bien du mal à m'extraire pour affronter les obligations du quotidien. C'est une merveilleuse sensation que, en dépit de ma lecture boulimique, je ne ressens que rarement. (C'était le cas pour « Les piliers de la terre », « Au revoir là-haut » ou « Karitas »). L'idée de sortir de ce milieu magique, d'abandonner les personnages auxquels je me suis attachée me désole et me pousse à ralentir ma lecture, afin de pouvoir pleinement en profiter.
L'incipit est intrigant. Comment diable Charles Bramwell Brockley peut-il voyager dans une boîte à biscuits ? Son nom, so british et tellement aristocratique donne à penser qu'il ne peut s'agir d'un petit animal. La curiosité est piquée d'entrée de jeu.
C'est au troisième chapitre que figure une précision temporelle « mai 1974, quarante ans plus tôt », ce qui permet de déduire que l'histoire principale, celle qui ouvre le roman, se déroule de nos jours (2014). Pourtant, Anthony Peardew a l'air d'un gentleman des temps anciens. Il vit dans une demeure qui n'abrite « ni ordinateur, ni télévision, ni lecteur de DVD ou de CD ». Il ne communique avec le monde extérieur que par l'entremise d'un « vieux téléphone en bakélite » et il écrit avec « un stylo à plume d'or ». Ses rituels sont immuables : tous les jours, à la même heure, il sirote son gin tonic, tout en écoutant la voix d'al Bowlly chantant « The very thought of you » grâce à un « gramophone (...) en bois, pourvu d'un majestueux pavillon doré ». Il a la chance de vivre dans une luxueuse demeure victorienne entourée d'un somptueux jardin, dont la roseraie abrite des trésors nommés « Albertine », « Grand prix », « Marcia Stanhope » ou encore « Étoile de Hollande ». Il possède un délicieux jardin d'hiver. Que souhaiter de plus ? Et pourtant, Anthony est solitaire et triste. Il ne jouit pas de toutes ces splendeurs matérielles, car, ne dit-on pas « un seul être vous manque et tout est dépeuplé » ?
Au fil des pages, le lecteur découvre qu'il y a deux histoires en parallèle, réunissant chacune un duo : en 1974, Eunice est l'assistante d'un éditeur pétillant et plein d'humour qu'on surnomme Bomber. Il est suivi partout par un petit chien. Victime d'un accident, celui-ci était voué à la mort. Heureusement, Bomber le sauve en lui construisant une sorte de voiturette qui lui permet de se déplacer.
Quarante ans plus tard, Laura est l'assistante d'Anthony, cet écrivain taciturne entouré de ses objets perdus.
Nous allons croiser Portia, la soeur de Bomber et son exact opposé, « une femme en forme de trombone déplié (…) un zigzag inélégant de nez, de coudes et de genoux que n'adoucissait nul rembourrage chaud et dont l'expression avait, au cours des années, sombré en un sarcasme permanent ». Elle a le chic pour lancer des piques assassines à tous ceux qui ont le malheur de croiser sa route. Son ambition ? Devenir un auteur de best-seller. C'est pourquoi elle fait le siège de son frère, le harcelant pour qu'il publie son dernier chef-d'oeuvre Chaque dépôt de manuscrit provoque chez Bomber et Eunice d'inextinguibles fous-rires : elle plagie les grands classiques de la littérature, ce qui nous offre des pages savoureuses du plus haut comique.
Au contraire, Sunshine est une jeune fille de dix-neuf ans qui a gardé une âme d'enfant, puisqu'elle est « Dancing Drone ». C'est ainsi qu'elle comprend « Down's syndrome, l'appellation généralement utilisée dans les pays anglo-saxons pour la trisomie 21 ». En dépit de ce handicap, Sunshine, qui porte bien son nom, a une vision très claire des choses. Elle les comprend vite et mieux que beaucoup de ceux qui l'entourent, car elle a l'intelligence du coeur. Elle nomme Anthony « Saint Anthony », et, quand on sait que sa maison s'appelle « Padua » (Padoue), on comprend pourquoi il est devenu « le gardien des choses perdues ». Sa bien-aimée Thérèse est très attachée à Sainte Thérèse de Lisieux, la petite sainte aux roses.
Tellement d'autres personnages sont si attachants qu'on a l'impression de les avoir connus : Eunice, Bomber, Laura, Freddy, Grace et Godfrey, sans oublier les chiens, Douglas, Baby Jane et Carotte.
Le roman est rythmé par la musique préférée de Thérèse et Anthony, on y trouve des nouvelles qu'Anthony a écrites en s'inspirant des objets recueillis, ainsi que les plagiats hilarants imaginés par Portia à partir de « Jane Eyre », de « L'Amant de Lady Chaterley » et d'autres encore.
Le fantastique rôde : à Padua, des portes se ferment hermétiquement, des pendules s'arrêtent tous les jours à la même heure, des vitres volent en éclats, un fantôme semble accabler les habitants de sa mauvaise humeur.
La manie d'Anthony de collectionner même ce qui semble n'avoir aucune valeur, comme un bouton, la pièce d'un puzzle ou un élastique à cheveux m'a fait penser à ces photos d'objets abandonnés réalisées par Tom Hanks.
La construction de ce livre est magique, comme l'atmosphère qui s'en dégage, donne le sourire et réchauffe le coeur. Quand j'ai appris que l'auteur s'était lancée dans l'écriture (c'est son premier roman) après un grave accident suivi d'un cancer, j'ai admiré son courage de ne voir que le beau côté des choses, malgré l'adversité, transmettant au lecteur une vision optimiste de la vie. Je lui tire mon chapeau, car, pour ma part, je suis sûre que j'en serais bien incapable.
Bomber et Eunice vont ensemble au cinéma. Un nombre considérable de films émaillent le récit et les personnages s'y réfèrent souvent pour expliquer et agrémenter leur quotidien.
La traduction de Christine le Boeuf m'a paru épatante. Elle participe au charme de cette lecture que je recommanderais chaudement. Je n'ai trouvé le courage de fermer le livre qu'en me promettant de le relire, car c'était pour moi une lecture enchantée qui a embelli ma vie. Un immense coup de coeur auquel je regrette de ne pouvoir attribuer plus de cinq étoiles.
Commenter  J’apprécie          120

Citations et extraits (60) Voir plus Ajouter une citation
Il était son nord, son sud, son est et son ouest; sa semaine de labeur et son dimanche en fleur. Elle était sa lune, ses étoiles et sa chanson; ils pensaient que leur amour durerait toujours; et ils avaient raison
Commenter  J’apprécie          30
Il faisait ses adieux aux objets. (...)

Lorsqu'il avait commencé, toutes ces années auparavant , à recueillir les objets perdus, il n'avait pas vraiment de plan. Il voulait simplement les mettre en lieu sûr au cas où, un jour, ils pourraient se voir réunis aux gens qui les avaient perdus. Il ignorait souvent si ce qu'il avait trouvé était rebut ou trésor. Mais quelqu'un, quelque part, le savait. Et c'est alors qu'il s'était remis à écrire, tramant des nouvelles autour de ses trouvailles. Au fil des ans, il avait rempli ses tiroirs et ses étagères de fragments des vies d'autrui et mystérieusement, ils avaient contribué à guérir la sienne-si cruellement fracassée_ et à la restaurer. (p. 39)
Commenter  J’apprécie          220
Sa grand-mère lui avait dit un jour qu'on peut imputer aux gènes la responsabilité de la laideur et à l'éducation celle de l'ignorance, mais qu'être ennuyeux était rigoureusement inexcusable. L'école avait été ennuyeuse. (...)
Son unique salut se trouvait dans les films et les livres. Elle lisait comme si sa vie en dépendait. (p. 26)
Commenter  J’apprécie          350
- Mais est-ce qu'elle ne se rend pas la vie plus difficile, en se mettant encore plus à l'écart de...
La voix de Laura dériva avec le train de ses pensées, prises dans l'impasse du politiquement correct.Freddy pesa ses paroles avec attention, sans porter de jugement.
- À l'écart des gens " normaux ", voulez- vous dire ?
(...)Elle savait que Sunshine s'était fait peu d'amis à l'école et avait été tourmentée sans merci par les adolescents barbares (...)
- Je crois que c'est une sorte de camouflage (...), sa façon de parler.C'est comme un James Pollock.Il y a tellement de taches et d'éclats de peinture que s'il arrivait que l'un deux soit une erreur, personne ne pourrait le dire.Si Sunshine se trompe de mot, nous ne le saurons jamais- il secoua la tête, se souriant à lui-même - C'est du génie.


( p.139)
Commenter  J’apprécie          120
- Eh bien, je suppose qu'elle faisait un peu plus que dépoussiérer et passer l'aspirateur.
Laura avait eu l'intention d'essayer de passer prêt d'elles sans être vue mais, maintenant, elle leur fit face avec un sourire crâne.
- Fellation, annonça-t-elle. Tous les vendredis.
Et sans un mot, elle sortit en majesté.
Winnie se tourna vers Marjory l'air intrigué.
- Çà s'appelle comment, ça, en langage courant ?
- C'est de l'italien, dit Marjory en se tapotant la bouche avec sa serviette. J'en ai mangé, une fois, dans un restaurant.
Commenter  J’apprécie          100

Videos de Ruth Hogan (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ruth Hogan
Transmettre, nous dit le Larousse, c'est "faire parvenir quelque chose à ceux qui viennent ensuite". Un passage de relais en somme, dont il sera question dans ce nouveau rendez-vous des Éclaireurs de Dialogues.
Nous échangerons avec Marie Richeux , productrice sur France Culture et écrivaine. Elle publie ce mois-ci Sages Femmes, chez Sabine Wespieser Éditeur. L'histoire d'une jeune femme qui tente de démêler le fil des générations qui l'ont précédée.
Nous serons ensuite avec Julien, pour la bibliographie des libraires de Dialogues. La transmission est un thème très présent en littérature, Julien a sélectionné quelques-uns de ses titres favoris.
Et à la toute fin de cet épisode, notre invitée brestoise sera Chantal Rio, elle dirige le service des Archives de Brest. Elle nous racontera les trésors qui se cachent derrière les kilomètres de papiers précieusement conservés.
Bibliographie
- Sages Femmes, de Marie Richeux (Éd. Sabine Wespieser) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18899676-sages-femmes-rom-marie-richeux-sabine-wespieser-editeur - Les Disparus, de Daniel Mendelsohn (Éd. J'ai Lu) https://www.librairiedialogues.fr/livre/950138-les-disparus-daniel-mendelsohn-j-ai-lu - Les Sirènes du Pacifique, de Cédric Morgan (Éd. Mercure de France) https://www.librairiedialogues.fr/livre/16716822-les-sirenes-du-pacifique-roman-cedric-morgan-mercure-de-france - La Papeterie Tsubaki, de Ito Ogawa (Éd. Philippe Picquier) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18748759-la-papeterie-tsubaki-ito-ogawa-philippe-picquier - le Gardien des choses perdues, de Ruth Hogan (Éd. Babel) https://www.librairiedialogues.fr/livre/14880664-le-gardien-des-choses-perdues--ruth-hogan-actes-sud - L'Attente du soir, de Tatiana Arfel (Éd. José Corti) https://www.librairiedialogues.fr/livre/12952039-l-attente-du-soir-tatiana-arfel-jose-corti
Générique : Sara Petit.
+ Lire la suite
autres livres classés : romanVoir plus
Les plus populaires : Littérature étrangère Voir plus


Lecteurs (542) Voir plus



Quiz Voir plus

Les Amants de la Littérature

Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...

Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson

10 questions
5269 lecteurs ont répondu
Thèmes : amants , amour , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}