imaginez la chaleur torride enveloppant la montagne, le cri strident des cigales dans l'air torpide ; les bonzes assis en zazen des heures durant, immobiles sur leurs coussins moites, leurs crânes luisants cernés par les moustiques, la sueur ruisselant comme des larmes sur leurs jeunes visages.Le temps devait leur sembler interminable.