Selon un historien, le nombre de traités élaborés puis violés par le gouvernement s'élèverait à 378. Le résultat était presque toujours le même : la civilisation blanche avançait et la civilisation amérindienne était détruite, absorbée, repoussée. Le gouvernement prenait des engagements qu'il ne pouvait, et ne comptait, tenir et les Indiens mouraient. C'était toujours la même histoire. […] Les Indiens réclamaient toujours des accords valables indéfiniment. Or, aucun signataire blanc n'aurait pu croire le gouvernement capable de telles promesses. (p. 277-278)