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3.59/5 (sur 71 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) : 1971
Biographie :

Sara Zarr est l'auteur de trois romans pour jeunes adultes : Story of a Girl (National Book Award Finalist), Sweethearts (Cybil Award Finalist), et Once Was Lost (a Kirkus Best Book of 2009, Utah Book Award winner, INSPY winner). Ses nouvelles et ses essais ont été publiés dans Image, Hunger Mountain online, Response, et dans plusieurs anthologies.
Le quatrième romande Sara Zarr paraîtra en octobre 2011. Elle vit à Salt Lake City, Utah, avec sont mari, et sur le Web à l'adresse www.sarazarr.com

Source : http://www.sarazarr.com/bio
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Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
C’était au travers des plus petites choses, vraiment, que quelqu’un parvenait à dire Je regrette, à dire C’est bon, ça va, à dire Je te pardonne. Les plus minuscules des attentions finissaient, l’une après l’autre, par construire quelque chose de solide sous tes pieds.
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C'est comme ça qu'on sait pouvoir se fier vraiment à quelqu'un, je crois ; quand on n'a pas à parler tout le temps pour s'assurer que la personne a encore de l'affection pour vous ou prouver qu'on a des choses intéressantes à dire.
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J'explique : Pacifia est une petite ville abrutie avec un seul vrai lycée, où tout le monde connaît les histoires de tout le monde et où les rumeurs ne s'arrêtent jamais à moins qu'un autre ado soit assez taré pour faire un truc qui fera une meilleure histoire à colporter. Mais mon histoire à moi avait l'honneur de tenir la vedette depuis plus de deux ans. Il faut dire qu'un mec de terminale surpris le pantalon baissé sur une fille de quatrième, par le père de la fille (…) était assez difficile à concurrencer. L'histoire s'était répandue dans les couloirs, les vestiaires, les fêtes et le fond des salles de classe dès que Tommy avait débarqué au lycée le lendemain matin. Sur le coup, il s'était empressé de fournir tous les détails à ses copains, même s'il savait que mon frère Darren lui mettrait une raclée. (Ce qui fut le cas.) Le temps que j'intègre Terra Nova pour ma troisième, le lycée entier pensait avoir appris tout ce qu'il y avait à savoir sur Deanna Lambert. Chaque fois que quelqu'un voyait ma tête, je savais à quoi il pensait. Je le savais parce que, chaque fois que je me regardais dans la glace, j'y pensais moi aussi.  (p.15-16)
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Je me mettais à penser et si tout ça et je pouvais rester des heures sans bouger, à ressasser encore et encore jusqu’à sentir montrer les larmes, et là, je m’obligeais à arrêter.
Je déteste pleurer. Une des dernière fois que j’ai pleuré, ce fut quand Tommy et moi, on coucha ensemble pour la première fois, des mois avant le soir où mon père nous tomba dessus. Ça faisait si mal et Tommy était défoncé et ne se rendait même pas compte que j’essayais de le ralentir et il y avait à la radio cette pub débile pour une pilule de régime. Je sentais les larmes couler sur le côté de ma figure et goutter un peu dans mes oreilles. Le pire fut quand Tommy s’aperçut que je pleurais et se fit tout gentil : « Hé, Didi, pleure pas, ce sera mieux plus tard, tu es si jolie… Allez, Didi, allez. » C’était comme s’il avait prise sur moi, comme s’il avait vu au fond de moi alors qu’il n’y avait pas sa place.
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Les sentiments intimes que je ne voulais pas éprouver, je les lui prêtais.
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Une fois les souvenirs déroulés, l'oubli pouvait commencer.
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Elle aurait bien aimé qu'il se laisse aller de temps à autre. Qu'il se gave de bonbons. Qu'il fasse un caprice ou des blagues lourdes. mais chez eux, l'enfance, comme le chagrin, constituait une parenthèse à peine tolérée. un désagrement et un obstacle au grand objectif d'une vie : prouver au monde et à soi même qu'on ne se contentait pas d'encombrer l'espace ...
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Pour jouer du piano, il faut de l'intelligence, du coeur et de la technique. Sans coeur, on n'est qu'une machine ...
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Moi, Deanna Lambert, je n’appartiens à personne, et personne ne m’appartient.
Je ne sais pas quoi faire.
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Moi, Deanna Lambert, je n'appartiens à personne, et personne ne m'appartient.
Je ne sais pas quoi faire.
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