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Luc ne s’est jamais remis de la mort de son père. Un père qui lui a transmis son don pour le piano. Mais à quoi bon jouer quand la passion n’est plus là ? Sa rencontre avec une petite fille va lui redonner goût à la musique et à la vie. Ce roman est une merveille...

La vie de Caroline tient en 2 mots : le piano. Mais être douée n'est pas suffisant, surtout quand on est entourée de musiciens prodiges. Alors comment garder confiance en soi ? Un très beau roman sur l'apprentissage de la musique, tout le travail et la passion nécessaires pour jouer d'un instrument. Je suis moi-même musicienne et j'ai adoré la manière dont l'auteur a abordé le thème de la musique et de la confiance en soi. J'ai été surprise de voir à quel point ce roman faisait écho à mes propres sentiments lorsque je joue du piano, seule ou face à des gens.

Une trilogie de toute beauté, sombre et flamboyante à la fois. De son écriture élégante, acérée et vibrante d’émotion, l’auteur nous dévoile le destin de Stepan, un pianiste prodige condamné injustement à l’exil. Un exil placé sous le signe de la musique, de l’amour et de la vengeance… Tragique, romantique, magnifique.

Tripp est M. Impair, guitariste incompris et cancre récidiviste. Lyla est Mlle Pair, violoncelliste surdouée et élève modèle. Que se passe-t-il quand ces 2 ados partagent une même salle de répétition pour la musique ? Une très belle histoire d’amitié, tendre, drôle et émouvante. Un hymne à la musique !

Écologiste et militante jusqu’au bout des ongles, Sassy, 13 ans, compose des chansons engagées et rêve de changer le monde. Les garçons ? Pas le temps d’y penser… ou juste un peu ! Avec Sassy et sa bande, on fait le plein de bonne humeur ! Il n’est jamais trop tard pour se mettre au vert alors lisez ce livre !

Passer ses vacances en Corse à faire de la randonnée sur des chemins paumés en compagnie de ses parents ? Hors de question pour Maxime ! Le portrait hilarant d'un adolescent passionné de musique et de sciences économiques (si si je vous assure !) Un vrai régal ! Le roman est truffé de références musicales et cinématographiques. Un bon moyen de réviser ses classiques !

Gaku est un jeune musicien talentueux. Bien trop timide pour jouer en public, il fonde « Charlie », un groupe virtuel sur le net dont il est l’unique membre. Ses morceaux connaissent un tel succès que bientôt, le public demande à voir Charlie sur scène ! Gaku se retrouve dos au mur. C’est alors qu’il rencontre… De superbes dessins, des personnages charismatiques et surtout du ROCK !!! Woodstock est un véritable concentré d’énergie. Dans ce premier tome s'esquisse aussi le portrait d'une certaine jeunesse bercée par la musique rock et punk. Des jeunes plein d'audace et de talent qui tentent de réaliser leurs rêves.

Après le Worldshaker et le Liberator, je me suis lancée plus qu'enthousiaste dans la lecture de "Astor, le riff de la rue". Malheureusement, je n'ai pas eu de coup de c?ur comme pour les deux précédents romans de Richard Harland. L'univers steampunk qui m'avait tant séduite dans le Worldshaker m'a semblé ici un peu bâclé. Je ne me suis pas suffisamment sentie plongée dans l'ambiance steampunk de l'auteur, mis à part lors de certaines scènes. Le duo de personnages principaux, Vernon et Astor, présentent pas mal de similitudes avec Riff et Col, héros du Worldshaker : l'un est issu de la haute société, l'autre du bas de l'échelle sociale. On ne peut s'empêcher de faire le rapprochement entre les deux intrigues également : ce n'est qu'en s'unissant que les héros vont pouvoir mettre un terme aux multiples injustices de la société dans laquelle ils vivent. Dans les deux cas, l'amour finit par remplacer l'amitié qui unit les deux personnages. J'aurais aimé que l'auteur sorte un peu du schéma du Worldshaker et nous propose une intrigue radicalement différente, même si toujours basée dans un univers steampunk. Le roman montre avec beaucoup d'imagination combien la musique est importante pour l'épanouissement personnel (jouant moi-même de deux instruments, l'aspect musical de l'intrigue m'a beaucoup intéressée), tout comme l'engagement social qui peut en découler.

Ils sont rares ces livres qui nous font rire et pleurer à la fois, qui nous marquent à jamais sans trop savoir pourquoi. Celui-ci en fait partie. Victor aime écouter les Rolling Stones, parler voiture avec son père, observer son ami le vénérable Haïçam, joueur d’échecs imperturbable, et jouer aux rockeurs en avec les frères Étienne et Marcel. Le collège ? Pas sa tasse de thé. Sa petite vie de cancre va être bouleversée lorsqu’il rencontre Marie, une jeune et brillante violoncelliste à la chevelure rousse flamboyante. À partir de cet instant, la vie de Victor ne sera jamais la même. Un merveilleux roman sur le pouvoir de la musique, l’amitié, l’amour et la solidarité. À la fois drôle et émouvant, ce texte nous parle par sa simplicité dans le langage utilisé, son humour omniprésent malgré le thème de la cécité et l’inventivité dont fait preuve l’auteur dans le déroulement de son histoire. Au-delà du fait que les personnalités et comportements des personnages m’ont beaucoup amusée, j’ai particulièrement apprécié l’évolution de Victor. Au contact de Marie, il grandit, mûrit, accepte des responsabilités qu’il n’aurait jamais prises auparavant. Sa transformation est émouvante. Plongez sans attendre dans l’histoire de Victor et Marie-Jo et vivez un moment de lecture inoubliable. Une histoire d’une grande sensibilité, une bulle de poésie et tendresse.

D'ordinaire, je ne suis pas friande de littérature ado "girly", où les amours de collégiennes/lycéennes sont au cœur de l'histoire. Je n'ai rien contre les romans "girly", à condition que les intrigues ne se résument pas à une simple amourette terriblement banale et ennuyeuse. Romans d'amour et romances : oui. Romans à l'eau de rose et amourettes : très peu pour moi... La frontière entre les deux est parfois mince, je vous l'accorde. Il suffit parfois d'un détail pour que le roman bascule d'un côté ou de l'autre. Dans "La musique, c'est toute ma vie", c'est justement un personnage qui fait la différence et fait basculer le roman du "bon côte". Il s'agit d'Ellie. La jeune fille est loin des héroïnes stéréotypées de la littérature sentimentale pour ados et possède une personnalité complexe. C'est une forte tête, une passionnée de musique, une meneuse mais aussi une jeune fille terrifiée par le jugement des autres et peu expérimentée en amour. J'ai été agréablement surprise par la manière dont l'auteur a choisit de développer le thème de la découverte de l'amour par une lycéenne. J'avoue avoir débuté le livre avec quelques à priori, mais ils se sont dissipés au fil des chapitres. Certes, l'intrigue ne révolutionne pas le genre, mais elle a le mérite de sortir un peu de l'ordinaire. L'auteur évite l'écueil de la sentimentalité grâce à une galerie de personnages crédible et émouvante. Chaque personnage possède une faille qui le rend sincère et attachant. L'histoire fait sourire et rend le cœur un peu plus léger. Un roman sentimental sympathique.

Sur les traces de Pat Boone... Le résumé m'avait séduite, les critiques positives étaient plus que nombreuses, alors j'ai décidé de lire à mon tour ce roman de Séverine Vidal. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, disons plutôt que je suis déçue. J'attendais beaucoup plus de ce que j'ai finalement découvert. L'écriture de Séverine Vidal est sans conteste très agréable à lire. Elle parvient à donner une voix bien spécifique à chacun de ses personnages. Ces derniers possèdent un caractère, de même qu'une manière de penser, d'agir, qui leur est propre. On a aucun mal à se représenter les personnages. Dès les premiers chapitres, on se sent proches d'eux, on a l'impression d'être à leurs côtés. L'histoire que nous raconte Séverine Vidal est une belle aventure humaine. Difficile de ne pas s'émouvoir devant ce grand-père souffrant de la maladie d'Alzheimer et ce petit-fils dévoué qui entreprennent un voyage à travers les États-Unis afin de raviver les souvenirs qu'efface peu à peu la maladie... Maladie que l'auteure aborde d'ailleurs avec beaucoup de réalisme et de pudeur. Si l'émotion est présente à travers le sujet de la maladie d'Alzheimer, l'auteure n'en oublie pas pour autant l'humour. Elle parvient à équilibrer l'aspect dramatique de son roman grâce à des situations cocasses et des dialogues piquants. Malgré tout cela, je n'ai pas été conquise par ce road-trip à l'américaine. La faute à qui, la faute à quoi ? Peut-être à cause de certains éléments qui m'ont paru un peu cliché, comme tous ces personnages un peu paumés qui se trouvent, comme par hasard, et vont s'aider mutuellement à retrouver un sens à leur vie. J'ai trouvé cela trop prévisible et sentimental. Manque de crédibilité également : je pense notamment au personnage de Matt qui se découvre père et qui, du jour au lendemain, joue son rôle presque à la perfection. Je ne pense vraiment pas qu'on puisse s'improviser père comme il le fait. Ce n'est qu'un adolescent, il ne sait rien sur la manière de s'occuper d'un bébé. Pourtant, il décide d'emmener sa fille dans un périple en auto un peu fou à travers les States et tout se passe comme sur des roulettes. Mouais, pas convaincant à mes yeux.

Deux prénoms, deux adolescents, deux vies qui s'entremêlent pour ne plus faire qu'une. Voilà comment je résumerais l'intrigue d'Eleanor and Park. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ! Avec Rainbow Rowell, on sait où on va, droit à l'essentiel: les émotions, les sentiments. En l’occurrence, l'auteure nous invite à découvrir ceux de deux adolescents, traversant chacun une crise. C'est grâce à la lecture et la musique que leur relation va débuter. Une relation d'abord méfiante, puis amicale et enfin amoureuse, qui va leur permettre de mieux appréhender leur souffrance, la dompter, tout en découvrant la force des sentiments amoureux. Rainbow Rowell décrypte le langage du cœur avec une sensibilité et une pudeur qui transparaissent d'ailleurs dans l'écriture, délicate. En témoigne la scène où Park touche Eleanor pour la toute première fois, en lui caressant le creux de la main. Un moment de pur tendresse et d'innocence qui m'a fait "papillonner" le ventre... De manière générale, j'ai beaucoup aimé la manière dont l'auteure développe la relation entre Eleanor et Park. Tout se fait progressivement, sans précipitation. Entre les deux personnages s'installe d'abord un silence tacite, viennent ensuite quelques gestes faisant offices de dialogues muets. Puis naissent les regards timides, suivis par des paroles maladroites mais terriblement touchantes. Ce n'est qu'en passant par ces étapes que les deux adolescents parviennent à une relation amoureuse basée sur la confiance, la compréhension mutuelle et surtout, un amour sincère qui fait fi des "conventions", du regard des autres. D'ordinaire, je ne suis pas spécialement fan des romances pour adolescents, mais là, je dois avouer que j'ai été totalement séduite (où es-tu, mon séduisant Park?!). Il faut dire qu'il ne s'agit pas là d'une banale romance. Il s'agit d'une belle histoire d'amour à travers laquelle Rainbow Rowell explore le thème du mal-être adolescent, qu'il soit physique, familial ou identitaire... Ce roman est un vrai petit bijou qui rend le cœur "guimauve" et rappelle que l'amour est le remède de bien des maux...

Molly, Jane et Tara, 17 ans, ont décidé de créer un groupe de rock. Les premiers concers: plutôt médiocres. Alors quand Dean, un batteur de talent, propose de se joindre à elles, les trois amies acceptent. Et l'incroyable se produit: en seulement quelques mois, le groupe est repéré par une maison de disques et les quatre jeunes gens sont propulsés au rang de rock stars. La tournée américaine s'annonce excitante… Mais Molly découvrira que cette nouvelle vie jalonnée de succès cache aussi de nombreux pièges. Découvrez l'envers du décor de la vie de rock star...

Un superbe roman dont le personnage principale, Ingrid, rêve de devenir chanteuse lyrique, mais dont la mère cantatrice voit s'effondrer sa carrière.

Un drame bouleversant rythmé par des morceaux de piano.