Citations de Sarah Epstein (50)
« Un oiseau sur un arbre n’a jamais peur que la branche casse, parce qu’il ne se fie pas à la branche, mais à ses ailes. »
Mais on ne choisit pas ses peurs.
Ce sont nos peurs qui nous choisissent.
_ Et donc ? je dois arrêter de chercher Henry ?
- Ce n'est pas ce que j'ai dit.
- Mais tu as dit...
- De ne pas faire de vagues. Les vagues, ça se voit de loin quand ça se brise sur les falaises. Contente-toi de petites ondes, déclare-t-il avec un clin d'oeil complice. Elles font quand même bouger l'eau.
Mais tous les meurtriers ont des amis d'enfance, dis-je. Ils ont tous été des voisins, des camarades de classe, des copains.
Pourquoi les gens mentent, en général ?
Pour cacher la vérité
T'es sérieuse ? Espérer que Mason se livre, tu peux aussi bien attendre qu'une pierre saigne.
[…] je mesure à la fois l’incroyable générosité et la tristesse déchirante contenues dans l’attachement dont un enfant est capable pour ses parents, malgré tout ce qu’ils ont pu lui faire subir.
Si quelque chose paraît suspect, ce n’est sûrement pas par hasard.
Erreurs de parcours, mauvaises décisions... tout le monde en fait, c'est humain. Mais c'est ce qu'on en fait qui révèle qui on est vraiment.
je vois l’état de la cave, envahie de cartons ouverts partout, de tas de papiers, de bibelots kitsch et de meubles en trop mauvais état pour être vendus. […]
- Ne fait pas cette tête, me prévient Sabeen. Faut toujours que ça passe par une phase de bazar absolu avant que ça s'améliore.
Notre petit groupe formait une structure solide à l’image de notre cabane : un assemblage de pièces distinctes qui tiennent mieux ensemble que toutes seules.
Elle voudrait qu’on reste un groupe soudé, comme quand on était enfants. Mais en grandissant, on change. On a beau avoir été liés, on reste des individus séparés.
C'est impossible. Je ne veux pas y croire . Mais dans ma tête, j'entends les mots d'un des postcasts sur les enquêtes policières : Dés que la vérité éclate, tous les indices s'emboîtent.
On pense connaître quelqu'un, mais on ne sait jamais de quoi il est capable.
A quel point connaît-on ses amis ?
Pourtant, mon intuition ne trompait pas. Les enfants savent ce genre de choses. Leur instinct n'est pas entaché par des a priori et ils ne vont pas chercher des excuses comme les adultes.
Les vagues, ça se voit de loin quand ça se brise sur les falaises. Contente-toi de petites ondes [...] elles font quand même bouger l'eau.
Erreurs de parcours, mauvaises décisions… tout le monde en fait, c’est humain. Mais c’est ce qu’on en fait qui révèle qui on est vraiment.
Je dis toujours à papa que les gens de la campagne sont bien trop confiants. Tout le monde se connaît dans les petites villes, mais est-ce qu'on se connaît "vraiment "?
On pense connaître quelqu'un, mais on ne sait jamais de quoi il est capable.