Dans les premiers rangs il n'y avait à peu près que des femmes. La plupart d'un âge intéressant, entre trente et cinquante ans. Fasch les voyait, littéralement suspendues aux lèvres d'Henry, les cuisses moites, se laisser pénétrer par ses textes en faisant comme si elles n'étaient là que pour la culture. Ces lectures n'étaient rien d'autre qu'un festival de lubricité cachée.