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Critiques de Saverio Tomasella (235)
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À fleur de peau

L’hypersensibilité touche beaucoup de monde. On se sent à fleur de peau, à la merci des autres, dans un tourbillon d’humeurs changeantes, une envie un jour de sourire jusqu’aux étoiles puis le lendemain de pleurer toutes les larmes de son corps.



Flora est tout ça à la fois. Elle donne aux autres sans penser à elle, c’est une éponge des émotions, elle sombre se décourage, se relève mais chaque fois plus lasse et fatiguée de ressentir le monde de façon exponentielle. Sa rencontre avec Marc, prof de yoga va lui apporter une certaine sérénité. Elle lui partage ses peurs, ses doutes. Il lui conseille des livres, lui donne des pistes de réflexion. Ce n’est pas ce qui m’a le plus passionnée ici. Un peu trop « développement personnel ». Ce que j’ai aimé par contre, c’est le personnage de Flora dans son quotidien avec son mari carriériste et dénué de toute empathie, avec son fils Théo qui comme elle, partage la même sensibilité.



Si on ne cherche pas midi à quatorze heure, ce roman certes gentillet et qui ne révolutionnera pas la vie des hypersensibles a tout de même le mérite d’apporter une quiétude appréciable. Je l’ai lu avec grand plaisir dans une mini bulle zen. Comme tout ouvrage de développement personnel ou initiatique, il faut déjà avoir un terrain fertile pour accueillir des préceptes de changement. Il faut avoir l’envie, la détermination, le leitmotiv. Parfois, on est hypersensible et puis c’est tout. On finit en burn out parce que tout devient ingérable puis on se relève, on vit avec son hypersensibilité, on se protège, on évite les situations conflictuelles, on fait ce qu’on aime le plus. On finit par fuir les égoïstes, les insensibles et les inexorables personnes hermétiques aux émotions. Puis après tout, comme le chantait Fabienne Thibeault, on est toujours tout seul au monde.

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À fleur de peau

Ce livre est comme une petite fleur que j'aurais cueillie dans un joli jardin, et dont j'aurais senti les fragrances, avant qu'elle ne se fane ! Plaisir éphémère, et pourtant…



Une histoire un peu à l'eau de rose, normal puisqu'on parle de fleur. L'héroïne s'appelle Flora, c'est amusant !



Son histoire est actuelle : stress et frustrations professionnelles, vicissitudes de la vie quotidienne rythmée par les horaires de bureau, un mari arriviste et un peu macho, un fils collégien et sensible... des loisirs qu'elle essaye de découvrir, yoga, massages ou

autres « zen-attitudes », des relations familiales parfois conflictuelles, une culpabilité latente... quoi de plus banal ?



Alors, que dire de cette histoire aux accents de plus en plus positifs, allure conte de fées des temps modernes ?

Elle ne sert que de terreau à un semis de belles pensées, une pépinière qui nous permettra, à nous, lecteurs, de récolter les fleurs d'une réflexion poétique et philosophique sur la sensibilité de l'être humain. L'hypersensibilité, même, dont certains sont parés. Et se reconnecter à l'enfant que nous étions.



Je me croyais affublée d'une tare, d'un affreux défaut que je cachais difficilement, entre deux accélérations cardiaques et trois larmes essuyées furtivement de temps en temps, face à la beauté d'une oeuvre d'art, d'un poème, d'un océan qui poudroie aux heures crépusculaires… mais aussi entre quelques coups de gueule incontrôlables, sur babelio ou ailleurs, quand je ne maitrise plus mon cerveau reptilien.



Donc, si j'ai bien compris, finalement, c'est une qualité alors, la sensibilité ? Même les hommes en sont affublés parfois, et c'est même fréquent ? Et il ne faut pas s'inquiéter d'un fils qui préfère la danse au foot, la décoration de la table de Noël à la dernière vidéo qui fait le buzz sur YouTube, l'un n'empêchant pas l'autre ? Les garçons ont le droit de pleurer ? Même les hommes ? Il n'y a pas que les homosexuels qui sont sensibles ? etc.

Moi, je ne me suis jamais inquiétée, mes enfants sont des êtres sensibles, et s'ils étaient homosexuels, cela ne me poserait aucun problème. D'ailleurs je n'en sais rien, cela leur appartient.



Ce livre est un petit parcours initiatique pour les gens qui n'ont rien lu sur le sujet. Pour les autres, ils risquent de le trouver un peu léger.



Un cahier à la fin propose des pistes de réflexion, pour savoir où se situer. Je ne l'ai pas lu, je pense enfin savoir parfaitement où j'en suis.



Sensibilité ne signifie pas débilité.
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Ultrasensibles : Une histoire de famille

Valérie et Fiona sa fille vivent à Montréal. Valérie a des projets mais n’arrive pas à les concrétiser. Elle n’aime pas changer ses habitudes, elle est souvent découragée et fatiguée. Fiona commence sa vie d’adulte et elle est souvent freinée par ses doutes, ses ressentis. Toutes deux vont découvrir leur sensibilité extrême, apprendre à s’accepter et mettre des mots sur leur mal-être. La force de Valérie réside dans ses amies proches qui l’acceptent telle qu’elle est et vont adapter leur projet de vie pour respecter son rythme. On va suivre ces deux femmes pendant quatre saisons au Québec et voir leur évolution. Les illustrations sont splendides et les couleurs reposantes. Les conseils donnés par l’auteur sont subtils et il y a un test en fin de livre pour les lecteurs.



Je remercie les Éditions Vuibert et Babelio pour cette masse critique.

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Ultrasensibles au travail

C’est une amie Babeliote, Palmyre, qui présentait ce livre. Ils arrivaient tous deux au moment où j’en avais besoin. J’ai écrit un petit commentaire, d’autres ami(e)s ont fait de même et je me suis rendu-compte que je n’étais pas si seule que ça. Je sais pourquoi je suis hypersensible, je m’accepte et accepte les autres je ne le cache pas et j’ai la chance d’être bien entourée dans ma vie personnelle.



C’était le poste inespéré, un remplacement, contrat de six mois, secrétaire médico-sociale. Lors de l’entretien, l’ancien boss a été très clair sur les difficultés que je risquais de rencontrer. Le type était lucide. Le service en pleine réorganisation profonde, des départs, des burn-out, des rébellions, de la mauvaise foi aussi, mais bon, six mois c’est tenable.



Deux mois plus tard alors que je me retrouvais seule au poste et plus chouchoutée par les anciennes secrétaires parties vers d’autres horizons, la moitié de l’équipe ne m’adressait toujours pas la parole. Les arrêts de travail se sont succédés, non pas pour moi, pour les collègues, me mettant en difficulté car seule sur le poste au lieu de trois.



Un mois plus tard, un lundi matin en rentrant dans le service, j’ai senti mon coeur s’affoler. Je me suis retrouvée aux urgences pour hypertension et avec un traitement que je dois prendre à vie. Je vais loin, hein ? De susceptible, comme j’encaisse, je suis devenue parano en très peu de temps. Je me suis retrouvée seule, une nouvelle fois cet été avec une nouvelle secrétaire à former car le contrat a été renouvelé… Deux mois… Puis encore deux mois… et encore deux mois.



Ce travail que j’adore est devenue une souffrance. Alors que certaines s’amusaient à mettre en doute les paroles entendues (je suis parano, n’est-ce-pas), la nouvelle secrétaire a confirmé avoir entendu les mêmes paroles. Je n’avais pas de doute, hein, mais je me demande encore jusqu’où elles peuvent aller dans la maltraitance ou du moins dans l’essai.



Alors j’ai commandé le livre, juste pour réviser mes bases. Je l’ai commencé, retrouvant mes repères mais m’énervant si j’étais interrompue dans la lecture, un peu dans le même état dans lequel je suis, après une journée de travail, exaspérée. Jusqu’à la moitié du livre, j’arrivais à prendre du recul, je peux surmonter tout ça. Et puis arrivée à la dernière partie, en lisant des témoignages et l’avis des experts sur des situations bien précises, j’ai senti à nouveau mon coeur s’affoler, les situations décrites étaient exactement celles que je supportais, jusque dans la description de mes collègues, jusque dans la description de mon poste, aucun bureau personnel, un truc de dingue.



Cela fait quelques heures que j’ai fini le livre et même si je suis rassurée et lucide sur mon ressenti, je sais que je dois régler cette situation assez rapidement. Merci Palmyre et merci l’auteur.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Les bonheurs de l'art

Lorsque vous regardez une œuvre d'art, que ressentez-vous?



Cette question qui peut paraître assez simple peut en surprendre plus d'un, notamment moi avant la lecture de cet ouvrage.

Ayant reçu un enseignement artistique lors de ma jeunesse ainsi que tout au long de mes études, j'ai appris à regarder l'art de manière assez académique en utilisant les clés apprises lors de mes cours d'histoire de l'art.

Lorsque Babelio a proposé cette rencontre avec Saverio Tomasella, j'ai tout de suite été intéressée par le thème. Attirée d'abord par sa couverture représentant la toile "les îles d'Or" d'Henri-Edmond Cross, huile sur toile que j'avais eu l'occasion d'admirer au Musée de l'Orangerie, j'ai été très intriguée en lisant le résumé de l'ouvrage par le point de vu singulier proposé par l'auteur.



Par son travail qui nous offre une approche sortant des sentiers battus, Saverio Tomasella rend l'art accessible à tous car il nous offre la possibilité de nous affranchir des codes traditionnels de lecture des œuvres. Que l'on soit un enfant ou un adulte, que l'on soit de simple flâneurs, des passionnés ou des érudits nous pouvons tous nous retrouver sur le même point d'égalité si nous regardons le travail d'un artiste avec "notre cœur" et laissant parler nos sentiments et notre vécu.  Au fil des pages et par le biais des 18 œuvres proposées, Saverio Tomasella nous accompagne dans un voyage sensoriel où l'on en ressort changé.



En refermant ce livre, je me suis rendue compte que sa lecture m'avait apporté une sensation de bien-être et il me donne envie de m'essayer à l'exercice pour l'adopter définitivement.



Je tiens encore à remercier Babelio et les Editions Eyrolles pour cette très belle et touchante rencontre riche en émotions.
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Les bonheurs de l'art

Chronique rédigée le 8 septembre 2021, et petites modifications ajoutées après la rencontre avec l'auteur, ce 9 septembre....



Un livre-chevet, un livre-ami, à offrir, à garder prêt de soi…à faire connaître à nos proches. Un vrai cadeau pour accueillir au mieux ce complexe Présent qu'est l'Existence. …



Une lecture lumineuse, bienveillante offrant un Regard autre, "rafraîchissant", spontané, sur l'Art, centré sur l'élan et la sensibilité, et non pas sur une intellectualisation qui malheureusement fige...les choses ! Moments lumineux prolongés par la rencontre de l'auteur dans les locaux de Babelio...avec questions et échanges avec Saverio Tomasella, ce jeudi soir 9 septembre !



18 oeuvres, 18 leçons du regard et de la sensibilité. ..



À travers une sélection d'oeuvres connues et moins connues, l'auteur décide à travers 17 tableaux et une sculpture comme une sorte de parcours initiatique...



Une oeuvre d'art par année, comme pour le passage de l'enfance à l'âge adulte... entre L'Enfance, le Jeu, Les Loisirs, le rêve, l'Intime, la poésie, la maternité, le désir, l'Espace social, entre les villes que nous habitons, l'activité professionnelle que nous exerçons, …



Tous mes remerciements à L'éditeur , Eyrolles et au partenariat Babelio, pour l'envoi de cet ouvrage, en vue d'une rencontre avec son auteur le jeudi 9 septembre 2021, dans les murs de Babelio-. Je m'en fais une joie !



Chaque oeuvre correspond à un thème de réflexion : le temps de la contemplation, l'Enfance, la joie du jeu,le travail, le réel féminin, Les débuts, « L'âme du débutant », avec la très émouvante toile de Vincent van Gogh , « Les premiers pas » (d'après Millet), le désir, avec une sculpture de Camille Claudel…



Saviero Tomasella remet en cause notre société moderne dans son goût du sacrifice, du travail, de la performance…du consumérisme et rappelle, entre autres, la philosophie de vie des Arborigènes…Un rappel de nos valeurs « modernes » qui vont à l'encontre de l'authenticité et de l'HUMAIN … broyant tout sur son chemin !



L'auteur-psychologue nous parle de sa vie, de ses souvenirs, de ses admirations intenses pour un grand nombre d'artistes, musiciens comme peintres , tels Van Gogh, Berthe Morisot, Séraphine de Senlis, le Douanier Rousseau, etc.

Sans oublier une part "non négligeable" pour la Poésie...



« Notre coeur nous chuchote qu'il existe peut-être une meilleure façon de vivre, que nous devrions nous recentrer sur l'essentiel : la souffrance dans le monde et l'avenir de notre planète ; mais notre tête, elle, nous accuse de naïveté et nous dit de nous remettre au travail, de continuer notre vie comme si de rien n'était. « [Gillian Anderson/ p. 73 ]



Ouvrage en gestation depuis longtemps mais rédigé pendant ce temps si spécial du confinement et des débuts de la pandémie, mettant à bas toutes nos certitudes… Dans cette période d'isolement, et de remise en question de tout ce qui faisait habituellement « nos vies »… L'Art, la Musique, la Lecture… ont été des « appuis majeurs » dans ces nouvelles solitudes contraintes !



L'auteur, psychologue et psychanalyste a été « sensibilisé par les arts » dans sa jeunesse, à travers les rencontres avec peintres, sculpteurs et musiciens se trouvant dans le périmètre amical de la famille…

On sent profondément son amour de la musique, concluant chaque commentaire d'oeuvre picturale par un prolongement et un conseil musical. Un ouvrage pluridisciplinaire qui nous montre ( si besoin était , !!...) que la culture, les Arts, le goût du Beau sont ESSENTIELS, et participent de notre équilibre et de notre humanité !



« Continuer le voyage

Par l'art seulement nous pouvons sortir de nous, savoir ce que voit un autre de cet univers qui n'est pas le même que le nôtre et dont les paysages nous seraient restés aussi inconnus que ceux qu'il peut y avoir dans la lune. Grâce à l'art, au lieu de voir un seul monde, le nôtre, nous le voyons se multiplier, et autant qu'il y a d'artistes originaux, autant que nous avons de mondes à notre disposition, plus différents les uns des autres que ceux qui roulent dans l'infini. [Marcel Proust ]

(p. 161)”



Un ouvrage-compagnon, à lire et relire… où piocher, sans omettre qu'en plus ,du plaisir des yeux… il me reste à « savourer » et à écouter les morceaux musicaux, préconisés par l'auteur. .. à la suite de chacune des oeuvres picturales choisies et commentées..



A la fois Livre d'Art, de psychologie, de philosophie, d'ART-THERAPIE… en sachant combien les Arts apportent un mieux-être, un équilibre : « Faire entrer l'art dans la vie de quelqu'un par le biais d'activités telles que la danse, le chant, la fréquentation de musées et les concerts, représente une aide complémentaire pour améliorer notre santé physique et mentale « [Doctoresse et chercheuse hongroise Pirosha Ostlin / p. 162)



Intriguée et curieuse des autres écrits de Saviero Tomasella, à la suite de cette première découverte, j'ai commandé son ouvrage « Ces Amitiés qui nous transforment (2018) »...que je suis impatiente de lire !

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Les bonheurs de l'art

17 tableaux et une sculpture illustrent les propos de l'auteur, dont le titre devrait être "Mes bonheurs de l'art", plutôt que "Les..." En effet, ce que nous présente cet essai, ce sont les ressentis de Saverio Tomasella devant ces 18 œuvres, auxquelles il associe des pièces musicales et parfois des films. Il ne faut surtout pas y rechercher une analyse technique de ce qui a fait, ou pas, leur succès.



Comme il s'agit de ressentis, qui font plus appel à l'intuition qu'à la réflexion, ce ne sont pas nécessairement les vôtres ou les miens ; je peux avoir une lecture et un ressenti différents de celui de l'auteur ! L'essentiel est qu'ils m'incitent à la réaction spontanée, le plus possible en dehors de tout cadre normatif. Là est le bon côté de l'ouvrage...



Je suis plus critique sur la méthode : Saverio Tomasella s'appuie sur des œuvres qu'il aime, et il nous explique en quoi elles raisonnent en lui, mais pas que... Certaines œuvres ont été choisies pour faire passer un message ! Le lecteur ne peut pas le deviner, et il faut rencontrer l'auteur pour l'apprendre. Un peu décevant...



Reste que l'ouvrage nous propose une autre approche de l'art, basée sur les émotions et non sur la technique. Le profane que je suis ne peut qu'apprécier.
Lien : http://michelgiraud.fr/2021/..
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Les bonheurs de l'art

Il est où le bonheur, il est où ? Il est l'Art !!

Saverio Tomasella nous y entraîne ! Suivons-le !

Son livre « Les bonheurs de l’Art » est une véritable source d'inspiration. Une mane d'informations dans le domaine artistique, 18 oeuvres majeures y sont décrites, l'auteur incite son lecteur à découvrir chaque oeuvre, la regarder, s'en éloigner pour y revenir.

Quitter son "moi social" pour se retrouver, laisser s'exprimer notre sensibilité pour mieux appréhender les oeuvres de Grands Maîtres tels Pierre Bonnard, Van Gogh, Edvard Munch ou encore Berthe Morisot. Par associations d'idées, des morceaux de musique sont proposés pour chacun des tableaux de peinture du livre.

Découvrir cette approche spirituelle, psychologique et artistique de Saverio Tomasella permet de se nourrir intérieurement, être davantage en phase avec nous-mêmes, laisser notre spontanéité s'exprimer, nos ressentis jaillir et réveiller "l'enfant" qui sommeille depuis trop longtemps en nous ! C'est la récré ! Merci Saverio !
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Ultrasensibles au travail

Vous êtes empathiques.

Vous avez le sens du détail.

Vous êtes créatifs.

Vous êtes sensibles à l'injustice.

Vous avez tendance à être perfectionniste.

Vous savez traiter l'information d'une manière approfondie.

Vous avez des difficultés à vous sentir à l'aise dans un groupe.

Vous êtes sensibles à la lumière, au bruit ou aux odeurs.

Vous saturez facilement.

Vous avez besoin de dormir beaucoup.

Vous vous découragez facilement.



Bingo ! Vous êtes certainement hypersensibles et, ou ultrasensibles ("qui combine sensibilité et empathie élevées").

Pas de panique... il y a quelques astuces dans ce livre qui vous permettront d'améliorer votre quotidien au travail.



Et comme le dit l'auteur, Saverio Tomasella, "L'hypersensibilité n'est ni une anomalie ni une maladie, elle est simplement une particularité qui peut rendre notre quotidien plus difficile à vivre, par exemple au travail et dans certaines relations sociales obligées".



La première partie de l'ouvrage, nous permet de nous découvrir. Car, nous sommes potentiellement tous concernés. Et, même si vous ne l'êtes pas, jeter un œil dans ce livre, vous pourrez peut-être comprendre plus facilement les personnes qui vous entourent.



Eh, oui, même après avoir écumé quelques livres sur le développement personnel (méditation, etc.), j'ai encore appris des choses sur moi. Et, c'est tant mieux, car cette fois-ci, j'ai vraiment compris et identifié ce que je pouvais mettre en place dans ma vie de tous les jours pour diminuer mon niveau de souffrance.

Concrètement, ce n'est plus à moi de m'adapter aux autres, et je suis pour une révolution des "sensibles". Notre sensibilité peut devenir une Force, il suffit d'un peu d'entraînement.



Dans ce livre, il y a de petites questions auxquelles vous pourrez répondre directement sur l'ouvrage, car il y a de l'espace pour. La mise en page est réussie et originale. Il y a également des témoignages "oui, vous n'êtes pas le seul, la seule à ressentir, penser, vivre cela...".

Et, dernière partie du livre, il est question d'affirmer sa personne, et de mettre en lumière toute l'étendue de notre palette créative.



Dans une société qui connaît une hausse du développement personnel, ce roman apporte une bouffée d'oxygène à celles et ceux qui comme moi font preuve d'intelligence sensible. Et, l'une des premières choses à faire, est d'écouter son intuition.



Encore une fois, c'est un livre qui est arrivé au bon moment dans mon chemin de vie.

Et en plus, une rencontre avec l'auteur, enrichissante.



Merci Babelio pour vos initiatives, votre présence dans cet univers livresque.
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Ces amitiés qui nous transforment

Une très belle réflexion conjuguée à un hommage soutenu à l'Amitié…qui enrichit et grandit nos vies !



Après la rencontre avec l'auteur ce 9 septembre 2021 pour son dernier livre, « Les Bonheurs de l'art », ce texte m'ayant enchanté, je poursuis avec la lecture d'un autre de ses textes : « Ces amitiés qui nous transforment » ouvrage nous offrant un parcours personnel de Saverio Tomasella entre son vécu, ses rencontres amicales, ses lectures et expériences auprès de ses patients...



Une lecture plaisante qui nous mène à d'autres lectures…d'autres écrivains et artistes ayant réfléchi à ce très noble sentiment que celui de l'AMITIE… Reste pour moi le très vif souvenir de la lecture du texte extraordinaire de J.B. Pontalis : "Le Songe de Monomotapa"[ Gallimard, 2009 ]



« L'ami n'est pas un alter ego, un autre moi-même. Je le veux autre que moi, il m'attire comme étant différent. (...) Toutes les différences sont les bienvenues. Elles me permettent de m'affranchir de mon milieu social, de me soustraire à l'emprise familiale, de découvrir , grâce au regard que l'autre porte sur moi, que je suis différent de ce que je crois être. Bienfaits de l'amitié.” (p. 29)



Je suis toujours infiniment sensible aux ouvrages qui me mènent en suite à d'autres lectures, d'autres rencontres et d'autres textes nouveaux à “absorber”… Evidemment, en excellente position, se trouve le livre célébrissime « L'Usage du monde », le grand voyage formateur entrepris par Nicolas Bouvier et son ami Thierry ; j'ai noté dans mes futures curiosités à assouvir, un texte auquel Saverio Tomasella fait aussi référence à plusieurs reprises : « L'Elu » de Chaïm Potock (1967)



« On peut comparer le voyage initiatique de Nicolas [Bouvier ] et Thierry avec ce voyage intérieur partagé qu'est une amitié. Cette conception élève l'aventure amicale à un art de voyager à deux, qui serait l'art d'aimer un(e) ami(e), c'est-à-dire de s'ouvrir à l'altérité, en devenant poreux, donc perméable à l'autre. Comme le voyageur, l'ami consent à ce que l'expérience le transforme. Il délaisse ses repères familiers, il s'efface ou s'oublie pour apprendre à connaître l'autre, notamment en percevant à travers lui. « (p. 65)



Saverio Tomasella nous parle avec moult bienveillance et gratitude de ce cadeau de la Vie, qu'est L'Amitié… à travers les vécus de ses patients, la Littérature, les chansons, les films…et sa propre existence ! Une lecture lumineuse qui fait un bien fou !...



“Chaque amitié est un cadeau, un don même, un don merveilleux car inattendu. Je ressens une profonde gratitude pour chacune et chacun de mes amis. Nos amis savent découvrir des aspects inédits, ou peu connus, peu conscients encore, de notre personnalité. Ils nous révèlent à nous-mêmes. Ainsi, ils nous aident à mieux nous accepter tels que nous sommes réellement, aussi vivants que vulnérables, aussi lumineux que mystérieux, et surtout désirants, de ce grand désir de vie.

(p. 86)”

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Ultrasensibles : Une histoire de famille

Ultrasensibles, Une histoire de famille, est une BD de Saverio Tomasella, illustrée par Nathalie Prioux.



C'est le jour de l'an, à Montréal. Valérie est entourée de ses deux filles Fiona et Inès, de l'ami d'Inès, Noah, ainsi que ses deux amies Maëlle et Noémie. En partageant café et infusion, Maëlle, Noémie et Valérie tirent des cartes d'oracle qui sont formelles : pour elles, l'année nouvelle sera placée sous le signe de l'amitié, du changement : une année haute en couleur.



Alors que Valérie part quelques jours dans les Montagnes Vertes, dans le Vermont, fêter la fin de l'hiver avec son amie Kaya, Fiona fait la connaissance de Dimitri, un jeune réfugié russe, qui est arrivé à Montréal quelques jours plus tôt. Fiona propose à Dimitri de l'héberger provisoirement, le temps qu'il trouve une solution. A son retour, Valérie, stupéfaite, demande des comptes à Fiona, une violente dispute éclate entre mère et fille, dépassées par leurs parole et…. leur ultrasensibilité.



Les conversations qu'elles a eues avec son ami Kaya, ainsi qu'avec Silvia, la psychologue auraient pu lui mettre la puce à l'oreille... Mais c'est en réalisant le test que lui propose Fiona, que Valérie prend véritablement conscience que sa sensibilité est bien supérieure à la moyenne – on peut parler d'ultrasensibilité. Fiona -ultrasensible elle-aussi – trouve les mots justes pour expliquer à sa mère qu'il ne s'agit pas d'une maladie, mais d'un tempérament, qui concerne de 20 à 30 % de la population. Kaya, l'amie de Valérie, complète l'explication en affirmant qu'il est difficile pour les personnes ultrasensibles de vivre dans un monde absurde dans lequel règnent égoïsme, violence et méchanceté. Pour autant, elles doivent développer leur sensibilité, l'exprimer sans limite et sans censure, et surtout savourer la vie telle qu'elle est, sans compter....



Lorsque la BD se termine, on quitte à regret Valérie et ses amies qui s'apprêtent à fêter la Saint-Sylvestre, on mesure les changements prédits par les oracles, et le chemin parcouru par toutes et tous.



J'ai beaucoup aimé passer quatre saisons au Canada, découvrir la ville de Montréal en compagnie de Valérie, Fiona, leur famille et leurs amis. Je connaissais peu les expressions québécoises qui apportent du piquant au texte. Les illustrations de Nathalie Prioux nous donnent à voir une ville et de magnifiques paysages. Elles donnent vie et mouvement à des personnages attachants. Ultrasensibles, une histoire de famille met en images les manifestations de l'ultrasensibilité et ce qu'elle représente pour celles et ceux qui la vivent au quotidien. A la fin de l'ouvrage se trouve un test : « Suis-je ultrasensible ? » n'hésitez pas à le réaliser… Il vous permettra peut-être de mettre des mots sur des ressentis familiers que vous ne savez pas expliquer.



Deux petits reproches : j'aurais aimé en savoir beaucoup plus sur l'ultrasensibilité. Que fait-on lorsque le test se révèle positif ? Par ailleurs, il me semble que l'auteur passe très vite sur la fin de l'histoire…



Embarquement pour Montréal réussi, à bord d'une BD vitaminée et colorée !



Je remercie les éditions Vuibert et Déborah Zitt de Babelio de m'avoir adressé Ultrasensibles Une histoire de famille dans le cadre d'une Masse Critique Privilégiée afin d' en faire la critique.









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À fleur de peau

Lecture facile et un chouilla (trop ?) léger. Je n’ai pas été embarquée... parce que disons que tout est prédit…



L’hypersensibilité « touche » beaucoup de personnes. Ce n’est ni une maladie ni un handicap bien que cela puisse être difficile à vivre si elle n’est pas contrôlée et si nous sommes mauvais juge de nous-même.



Cet ouvrage contient de bons conseils si vous commencez depuis peu à vous intéresser au développement personnel (bien que je n’adhère pas à ce terme, car utilisé à tout-va). Mon avis n’est peut-être pas objectif, car ayant obtenu depuis peu un diplôme de thérapeute, à la suite d’une reconversion professionnelle, j’avais déjà connaissance de la majorité des choses citées dans cet ouvrage.



Différentes disciplines et massages y sont généreusement partagés. Une jolie palette pour être honnête.



Pour résumer, cet ouvrage donne envie d’être plus patients envers nous-même, de s’aimer davantage et surtout de s’accepter.
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Hypersensibles : Trop sensibles pour être heu..

Suite à la parution du dernier livre de Saverio Tomasella Ultrasensibles au travail, j'ai découvert le travail de ce psychanalyste, notamment autour de l'hypersensibilité, et me reconnaissant beaucoup dans le portrait de ces personnes plus sensibles que les autres, j'ai emprunté ce guide pour me renseigner davantage.

J'espérais apprendre plein de choses avec cette lecture, mieux me connaître et trouver des clés pour dompter un peu mieux cette sensibilité exacerbée. Je ressors malheureusement de cette lecture déçue, j'ai trouvé celle-ci souvent difficile et j'ai même été tentée de l'abandonner à plusieurs reprises.

Il y a certes beaucoup d'exemples concrets pour illustrer les propos de l'auteur mais ils sont traités en tant que tels et je n'en ai pas retiré d'enseignements à proprement parler, ils restent des exemples.

De même, je n'ai pas trouvé dans ce livre de solutions concrètes au thème abordé, je trouve que l'auteur reste beaucoup dans le constat et si ses patients vont mieux, pour moi ça reste un peu magique car on ne sait pas trop comment.

Je suis donc déçue car j'attendais d'un tel livre qu'il me permette de progresser et ce n'a pas été le cas pour moi.
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Les bonheurs de l'art

Aimeriez-vous découvrir dix-huit oeuvres d'art à travers un parcours-découverte inédit ? Si, comme moi, cette expérience vous tente, alors, joignez-vous à moi pour lire Les bonheurs de l'art, de Saverio Tomasella qui nous offre ici une approche pratique, très intuitive de plusieurs oeuvres d'art, peintures ou sculptures comme Dans le parc, de Berthe Morisot, ou Les repasseuses, d'Edgar Degas.

A chaque oeuvre d'art correspond un parcours, une thématique originale, qui se termine par une proposition musicale.



J'ai beaucoup aimé ces rencontres libérées avec les oeuvres d'art. Il ne s'agit pas de rejeter en bloc toute approche académique ou intellectuelle, mais bien de nous inviter ici à nous rapprocher au plus près de l'oeuvre d'art, à prendre notre temps, à nous approprier le tableau, la sculpture, en mettant l'accent sur nos ressentis, nos émotions.

Parmi tous les thèmes développés, deux m'ont plus particulièrement intéressé : "S'autoriser à exprimer sa douleur", illustré par le tableau "Mélancolie", du peintre Edvard Munch, l'auteur du "Cri". La Symphonie n°9 de Gustav Malher lui est associée. J'aime beaucoup également le parcours "Apprendre à voir", autour des "Nymphéas" de Claude Monet. Vision, de Cliff Richard est la musique choisie par l'auteur.



Les bonheurs de l'art est un ouvrage qu'on peut lire d'une traite, ou poser et reprendre à loisir. C'est une porte d'entrée, aux clés multiples, qui permettra ensuite au gré de chacun, de chacune, d'aller à la découverte d'autres oeuvres d'art, en conservant spontanéité et recherche de l'émotion.



J'ai participé avec beaucoup de plaisir à la réunion-rencontre organisée par Babelio le 9 septembre avec Saverio Tomasella, rencontre solaire sous fond d'averse d'automne!
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À fleur de peau

Alors il ne faut pas s’y tromper ce livre n’est pas un roman à proprement parler. C’est plus une histoire qui permet d’expliquer ce qu’est un hypersensible, ce qu’il ressent, les implications au quotidien et les solutions possibles pour mieux vivre son hypersensibilité.

Même si j’ai passé un moment agréable avec Flora, l’héroïne de ce livre, l’histoire est très simple. Il n’y a pas de quoi en commencer la lecture si le sujet n’intéresse pas !

L’auteur nous raconte l’histoire de Flora, trentenaire, mère de famille, dessinatrice investie, et hypersensible. Il décrit sa vie ou plutôt ses choix de vie, ses schémas de pensée, ses difficultés au travail, dans son couple, ses questionnements, ses relations amicales… C’est très intéressant, facile à lire sous cette forme, les passages plus théoriques sont distillés habilement dans l’histoire ce qui fait que le lecteur peut comprendre et apprendre avec plaisir. Le procédé est malin et fonctionne. A la fin de chaque chapitre, il y a une petite conclusion qui permet au lecteur de se situer par rapport à l’héroïne et de se questionner sur son hypersensibilité.

A la fin du livre, il y a un cahier pratique pour aider à avancer dans sa démarche du « mieux vivre mon hypersensibilité ».

Je recommande cette lecture à ceux qui sont hypersensibles ou qui pensent l’être, à ceux qui partagent la vie d’un hypersensible que ce soit en couple, dans la sphère familiale ou encore professionnelle. J’ai beaucoup appris sur moi-même et mieux compris mon mode de fonctionnement, cela me permet de m’adapter à certaines situations quotidiennes et aussi de cesser de culpabiliser.
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Osez votre singularité

Avec beaucoup de justesse et de lucidité, l'auteur, le psychanalyste Saverio Tomasella met en lumière nos nombreux blocages, croyances et injonctions qui nous empêchent d'être nous-même donc d'accéder à notre singularité. Avec des témoignages inspirants et des conseils avisés, l'auteur nous convainct qu'un changement de cap est possible avec une prise de conscience et beaucoup de ténacité. Un ouvrage inspirant.
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Ultrasensibles : Une histoire de famille

Valérie arrive à un tournant de sa vie et se pose des questions sur son avenir d'autant qu'elle se sent sensible voire trop à tout ce qui l'entoure.

C'est par le biais d'un test avec sa grande fille Fiona qu'elles se rendent compte qu'elles ont le même haut niveau de sensibilité.



Une bande dessinée agréable à lire, lu en une seule soirée, moi qui peine à terminer les romans commencés en ce moment, j'ai eu l'impression d'avancer.



Cela m'a fait plaisir de retrouver l'écriture de Saverio Tomasella grâce auquel j'ai moi-même découvert que j'étais ultrasensible avec son ouvrage Ultrasensibles au travail et une rencontre dans les locaux de Babelio. C'est donc avec empressement que j'ai accepté de recevoir ce livre dans le cadre d'une masse critique. Je remercie d'ailleurs les éditions Vuibert et Babelio.



Lu rapidement, j'ai apprécié les magnifiques paysages québécois ainsi que les éléments qui caractérisent l'hypersensibilité aux travers des personnages. Cependant, j'ai mis un moment avant de rédiger ma critique car il y avait un bémol dans mon enthousiasme. Et, c'est en lisant les autres critiques que j'ai pu mettre des mots plus précis sur mon ressenti.



Il me manque quelque chose pour adhérer complètement. C'est cette impression de rapidité de lecture, de survol qui a freiné mon élan. Je pense que j'aurais aimé suivre davantage le parcours des personnages notamment comment elles allaient vivre leur quotidien après cette découverte, même si on peut le deviner. C'est cet après qui me manque.
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Le sentiment d'abandon

Un livre qui n'est pas inintéressant, qui se lit facilement et très rapidement. C'est une bonne "mise en bouche", car ce sujet grave et universel concernant la notion d'abandon ne peut pas être traité en seulement 180 pages mais mérite d'être approfondi.
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Les amours impossibles

Un livre qui permet une réflexion sur nos comportements "destructeurs" dans les relations amoureuses - destructeurs pour nous-mêmes tant pour ceux que nous avons en face

Dans la première partie l'auteur dresse les portraits typiques de patients qui rendent leurs amours impossible .Chacun de ces archétype se voit rattaché à une figure de la littérature célèbre - ce qui fait écho au livre de Lucia Extebarria, Je ne souffrirai plus par amour.

Puis dans la seconde, il propose des 'solutions' (pas miracles) pour changer de repères et de schéma.



Ces chapitres parfois un peu trop tranchés ne sont peut-être pas si étanche que la présentation le laisse penser.

La démonstration reste claire dans l'ensemble - en dépit de quelques passages en jargon de psy !
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Les bonheurs de l'art

Saverio est un écrivain très sensible, mélomane et proche des artistes depuis sa plus tendre enfance. Il a fait le lycée musical (sorte de sport études pour la musique). Ici ce n’est pas le psychanalyste qui parle mais bien l’homme qui essaie de désacraliser tout ce qu’il touche, et de désacraliser l’art.



L’approche n’est ni académique ni didactique, c’est presque un plaidoyer pour avoir des visions, des sensations, des souvenirs, plutôt que des mots ,

Avoir droit à l’’emotion, droit au bonheur.



L’auteur a choisi 18 tableaux qu’il a associés à différents thèmes de la vie : le réel féminin, partager, reconcilier les contraires, quitter son moi social, s’autoriser à exprimer la douleur, connecter la part de spirituel en soi…

Diverses émotions, divers sentiments et moments de notre vie à ressentir. Avec chaque tableau est suggérée une musique inspirante.



Lu d’une traite, mal ressenti, je pense que je vais relire ce livre par petits morceaux, le. déguster et surtout… le ressentir. Et ce sera un nouveau prétexte pour arpenter les musées à la recherche des œuvres citées.
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