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4.23/5 (sur 344 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Angleterre
Biographie :

Scarlett Cole a vécu aux États-Unis et au Japon avant de s’installer pendant plusieurs années au Canada où elle a été responsable stratégie et marketing dans une grande entreprise.

Elle vit aujourd’hui entre Manchester, en Grande-Bretagne, et Toronto avec son mari et leurs deux enfants, et se consacre à l’écriture.

son site : http://www.scarlettcole.com/
Twitter : https://twitter.com/ItsScarlettCole
page Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100009262168260

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Citations et extraits (84) Voir plus Ajouter une citation
— Trent Vincent Andrews ! appela une voix provenant de l’intérieur de l’appartement.
— C’était quoi, ça ? s’écria Harper en sursautant.
Trent grimaça. La matinée était sur le point de devenir très amusante.
— Tu es là, chéri ?
— Vincent ? répéta Harper, les yeux écarquillés.
Trent sauta du lit et jeta une couverture sur Harper.
— Ma mère débarque, tu es à poil, je bande comme un taureau et le seul truc qui te choque c’est mon deuxième prénom ? 
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- Qui t'a dit que j'avais besoin d'espace ? s'exclama-t-il. Je te veux ici. Avec moi. Tout le temps. Je veux rentrer et être content d'entendre la douche couler parce que je sais que tu y es. JE veux avoir du mal à me lever le matin pour aller faire du sport parce que je déteste l'idée de laisser ton corps tout chaud derrière moi. Je veux entendre une clé tourner dans la serrure et être heureux de savoir que tu es rentrée. Putain, Harper, ce n'est pas de l'espace qu'il me faut.
Harper éclata de rire.
- Qu'est-c qu'il y a de drôle ?
- Je ne voulais pas dire de l'espace. Je voulais dire de l'espace : dans la penderie, les tiroirs de ma commode, le placard de la salle de bain.
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"Entendre Drea lutter pour reprendre son souffle, tandis que le chagrin se déversait de tout son être, laissa Cujo totalement impuissant. Comment aider la personne que vous aimiez à surmonter un chagrin si puissant qu'il l'empêchait de respirer ?"
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— Est-ce que vous savez recouvrir des grandes cicatrices ?
Une voix douce et inattendue, derrière lui. Il regarda par-dessus son épaule, les doigts encore posés sur la clé. Dans l’ombre du palmier géant qui dominait le trottoir se tenait une silhouette solitaire, qui s’avança vers lui.
Il ne lui fallut que quelques secondes pour la reconnaître : la jeune femme de cet après-midi. Ouah. Elle avait changé de vêtements et portait à présent un jean moulant avec un haut couleur ivoire qui semblait avoir été fabriqué avec des nuages. Elle avait lâché ses cheveux, qui retombaient à présent en boucles douces sur ses épaules, mettant en valeur la peau la plus lisse qu’il avait jamais vue. Ses bras étaient enveloppés tout contre elle.
Trent s’immobilisa, la clé dans la serrure, sans quitter Harper du regard un seul instant.
— Ça dépend du type de cicatrice. La profondeur, la taille, l’emplacement, tout ça.
Elle scrutait le trottoir comme si le mégot de cigarette près de son pied était la chose la plus fascinante au monde. Ses mains se serraient en poings qu’elle relâchait aussitôt, encore et encore, donnant l’impression qu’elle voulait faire quelque chose sans savoir quoi.
— C’est pour toi ou pour quelqu’un d’autre ?
Ses doigts continuaient de tressaillir. Elle leva le menton. L’intensité dans ses yeux, qui étaient d’une teinte de vert incroyable, semblable à du verre poli, lui indiqua qu’elle était terrorisée.
— Pour moi, répondit-elle doucement.
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« — Je suis putain de content, Pixie. Et stressé à mort. Le fait que tu décides de partager avec moi quelque chose d’aussi précieux est le plus beau cadeau que tu puisses m’offrir.

Pixie logea sa tête dans le creux de son épaule. Quelques secondes s’écoulèrent. Puis Dred sentit les lèvres chaudes de Pixie dans son cou. Il la serra plus fort contre lui, et elle fit glisser ses lèvres sur sa peau, jusqu’à trouver sa bouche.

Lorsqu’elle prit le visage de Dred entre ses mains, il éprouva tout à coup le sentiment d’être… quoi ? Aimé ?

Il fit glisser ses mains le long du corps de Pixie, caressant les courbes de ses seins avant de remonter plus haut, pour tenir son visage entre ses mains comme Pixie tenait le sien. Suivant son rythme à elle, il intensifia son baiser, se rappelant que, malgré la puissance du désir qui lui ordonnait de soulever Pixie pour la prendre là, sur le comptoir de la cuisine, ils avaient beaucoup de choses à régler avant que cela ne puisse se produire. Il sentit un feu s’allumer dans sa poitrine. Il s’embrasait pour elle. Pourtant, pour une fois, il était heureux de prendre le temps d’aider Pixie à explorer sa sexualité.

Le souffle court, il se recula d’un pas. La petite moue de Pixie était irrésistible avec ses lèvres légèrement enflées.

— Il nous faut des règles de base, flocon.

— Ah bon ? »
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-Bon, il faut que je te pose la question, commença Trent, et Cujo s’interrompit dans la série de petits bonbons en forme de cœur qu’il était en train de réaliser pour une jolie cliente originaire de Toronto. Tu dis qu’il ne se passe rien entre Drea et toi, et puis je vous surprends collés-serrés après le départ du flic. Qu’est-ce qui se passe, mec ?

Aussitôt après qu’il l’avait libérée de son étreinte, Drea était partie et il l’avait regardée s’éloigner en compagnie de Harper. La distance entre eux aurait dû l’apaiser ; à la place, il avait eu l’impression qu’on venait de lui enlever un morceau de lui-même.

-J’ai parfois l’impression qu’on est un peu comme un Mentos et un Coca : la moitié du temps, c’est explosif entre nous.

-Et l’autre moitié ?

Cujo resta silencieux un moment, hésitant sur la réponse à donner. Il respectait Drea, l’admirait même. Elle travaillait dur, s’occupait des sa mère, faisait attention aux autres. Et il crevait d’envie de la déshabiller, histoire de voir ce qu’il pouvait faire avec ce brasier qui brûlait en elle.
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Ajourais… Jouirais… Mariais… Fileur… Bleuir…
Mais tant d’autres mots étaient possibles. Brûlé, bilé, fourbir, abîmerai…
Remontant ses messages, elle ouvrit celui qu’elle avait reçu alors qu’elle faisait du shopping avec Drea. Elle commençait à transpirer et un pic de terreur glacé lui transperça la poitrine, l’empêchant de respirer.
Matraquent Ruche méprisée pansements : Tu me manques, Harper. Ce n’est pas terminé.
Elle était tellement habituée à ne plus répondre au nom de Taylor qu’elle n’avait pas réalisé jusqu’à cet instant que si le message provenait bel et bien de Nathan, alors il connaissait sa nouvelle identité. Et s’il connaissait son identité – et son numéro de téléphone –, alors il savait certainement où elle se trouvait.
— Tout va bien ? demanda Trent avant qu’elle n’ait réussi à déchiffrer le dernier message. Tu es toute blanche, ma puce.
Harper froissa la serviette en boule et plaqua un sourire sur son visage.
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- Je t’aime, Harper. Tout le reste, ce sont des détails. Beaucoup de putains de détails, mais rien d’autre que des détails.
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Telle une fleur du désert après une pluie, Harper se noya dans ce contact. Elle sentit sa poitrine se déployer, et son souffle s’accélérer. Sans qu’elle parvienne à se l’expliquer, elle se sentait en sécurité dans les bras de cet homme qu’elle connaissait à peine.
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C’était quoi le truc, avec cette fille ? Elle lui faisait un effet que personne ne lui avait fait depuis très longtemps. Il songea à l’unique fois où il avait eu envie de s’investir dans une relation à long terme. Cette expérience désastreuse avait profondément bouleversé sa vie amoureuse. Pas une seule fois depuis n’avait-il envisagé une quelconque histoire sérieuse. Jusqu’à aujourd’hui. Trent attira Harper plus près de lui et inspira à fond.

La façon dont son corps s’emboîtait parfaitement avec le sien, à la façon de deux pièces d’un puzzle, lui procurait une telle sensation de bonheur que c’en était effrayant. Baissant la tête jusqu’à ce que son menton repose sur la tête d’Harper, il apprécia chaque courbe, chaque ligne qui épousait son propre corps. L’odeur qu’elle dégageait lui évoquait une brise d’été mélangée à des effluves de vanille et de fraise. Une senteur fraîche qui vous donnait l’eau à la bouche. Sentant la chaleur d’Harper tout contre son torse, il se mit au diapason des mouvements de son souffle. Merde, des chansons avaient été écrites pour décrire ce moment précis – et lui-même n’était-il pas en train de laisser parler son âme de poète ?

Elle n’avait toujours pas bougé. Peut-être devrait-il la lâcher, seulement il n’avait aucune envie que ce moment prenne fin. C’est alors qu’il le sentit. Un infime mouvement de Harper, qui venait de passer un doigts dans un passant de son jean.

Cette marque de confiance faillit bien le mettre à genoux. Déglutissant avec difficulté, il fit glisse une main dans son dos, de haut en bas. Ce tout petit geste signifiait davantage que la plus passionnée des étreintes. Lorsqu’elle poussa un soupir et se laissa aller contre lui, Trent fit parvenir une prière à quiconque dans l’univers voudrait bien l’écouter.
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