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Citations de Scarlett Cole (84)


— Trent Vincent Andrews ! appela une voix provenant de l’intérieur de l’appartement.
— C’était quoi, ça ? s’écria Harper en sursautant.
Trent grimaça. La matinée était sur le point de devenir très amusante.
— Tu es là, chéri ?
— Vincent ? répéta Harper, les yeux écarquillés.
Trent sauta du lit et jeta une couverture sur Harper.
— Ma mère débarque, tu es à poil, je bande comme un taureau et le seul truc qui te choque c’est mon deuxième prénom ? 
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- Qui t'a dit que j'avais besoin d'espace ? s'exclama-t-il. Je te veux ici. Avec moi. Tout le temps. Je veux rentrer et être content d'entendre la douche couler parce que je sais que tu y es. JE veux avoir du mal à me lever le matin pour aller faire du sport parce que je déteste l'idée de laisser ton corps tout chaud derrière moi. Je veux entendre une clé tourner dans la serrure et être heureux de savoir que tu es rentrée. Putain, Harper, ce n'est pas de l'espace qu'il me faut.
Harper éclata de rire.
- Qu'est-c qu'il y a de drôle ?
- Je ne voulais pas dire de l'espace. Je voulais dire de l'espace : dans la penderie, les tiroirs de ma commode, le placard de la salle de bain.
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"Entendre Drea lutter pour reprendre son souffle, tandis que le chagrin se déversait de tout son être, laissa Cujo totalement impuissant. Comment aider la personne que vous aimiez à surmonter un chagrin si puissant qu'il l'empêchait de respirer ?"
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- Je t’aime, Harper. Tout le reste, ce sont des détails. Beaucoup de putains de détails, mais rien d’autre que des détails.
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- Mon Dieu, Trent, qu'est-ce que tu t'es fait ? lui demanda Harper en découvrant les coupures et les bleus.
- J'ai eu une petite discussion avec un lampadaire quand tu es montée dans le taxi l'autre soir.
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Telle une fleur du désert après une pluie, Harper se noya dans ce contact. Elle sentit sa poitrine se déployer, et son souffle s’accélérer. Sans qu’elle parvienne à se l’expliquer, elle se sentait en sécurité dans les bras de cet homme qu’elle connaissait à peine.
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« — Je suis putain de content, Pixie. Et stressé à mort. Le fait que tu décides de partager avec moi quelque chose d’aussi précieux est le plus beau cadeau que tu puisses m’offrir.

Pixie logea sa tête dans le creux de son épaule. Quelques secondes s’écoulèrent. Puis Dred sentit les lèvres chaudes de Pixie dans son cou. Il la serra plus fort contre lui, et elle fit glisser ses lèvres sur sa peau, jusqu’à trouver sa bouche.

Lorsqu’elle prit le visage de Dred entre ses mains, il éprouva tout à coup le sentiment d’être… quoi ? Aimé ?

Il fit glisser ses mains le long du corps de Pixie, caressant les courbes de ses seins avant de remonter plus haut, pour tenir son visage entre ses mains comme Pixie tenait le sien. Suivant son rythme à elle, il intensifia son baiser, se rappelant que, malgré la puissance du désir qui lui ordonnait de soulever Pixie pour la prendre là, sur le comptoir de la cuisine, ils avaient beaucoup de choses à régler avant que cela ne puisse se produire. Il sentit un feu s’allumer dans sa poitrine. Il s’embrasait pour elle. Pourtant, pour une fois, il était heureux de prendre le temps d’aider Pixie à explorer sa sexualité.

Le souffle court, il se recula d’un pas. La petite moue de Pixie était irrésistible avec ses lèvres légèrement enflées.

— Il nous faut des règles de base, flocon.

— Ah bon ? »
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- Trent et toi, vous êtres comme les pâtes au gruyère.
- Les pâtes au gruyère ? répéta Harper.
- Ouais, confirma Cujo. Chaque ingrédient est bon séparément, mais si tu les associes, ça devient le meilleur plat au monde. Il n'y a pas une seule personne sur Terre qui n'aime pas les pâtes au gruyère.
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— Est-ce que vous savez recouvrir des grandes cicatrices ?
Une voix douce et inattendue, derrière lui. Il regarda par-dessus son épaule, les doigts encore posés sur la clé. Dans l’ombre du palmier géant qui dominait le trottoir se tenait une silhouette solitaire, qui s’avança vers lui.
Il ne lui fallut que quelques secondes pour la reconnaître : la jeune femme de cet après-midi. Ouah. Elle avait changé de vêtements et portait à présent un jean moulant avec un haut couleur ivoire qui semblait avoir été fabriqué avec des nuages. Elle avait lâché ses cheveux, qui retombaient à présent en boucles douces sur ses épaules, mettant en valeur la peau la plus lisse qu’il avait jamais vue. Ses bras étaient enveloppés tout contre elle.
Trent s’immobilisa, la clé dans la serrure, sans quitter Harper du regard un seul instant.
— Ça dépend du type de cicatrice. La profondeur, la taille, l’emplacement, tout ça.
Elle scrutait le trottoir comme si le mégot de cigarette près de son pied était la chose la plus fascinante au monde. Ses mains se serraient en poings qu’elle relâchait aussitôt, encore et encore, donnant l’impression qu’elle voulait faire quelque chose sans savoir quoi.
— C’est pour toi ou pour quelqu’un d’autre ?
Ses doigts continuaient de tressaillir. Elle leva le menton. L’intensité dans ses yeux, qui étaient d’une teinte de vert incroyable, semblable à du verre poli, lui indiqua qu’elle était terrorisée.
— Pour moi, répondit-elle doucement.
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Ajourais… Jouirais… Mariais… Fileur… Bleuir…
Mais tant d’autres mots étaient possibles. Brûlé, bilé, fourbir, abîmerai…
Remontant ses messages, elle ouvrit celui qu’elle avait reçu alors qu’elle faisait du shopping avec Drea. Elle commençait à transpirer et un pic de terreur glacé lui transperça la poitrine, l’empêchant de respirer.
Matraquent Ruche méprisée pansements : Tu me manques, Harper. Ce n’est pas terminé.
Elle était tellement habituée à ne plus répondre au nom de Taylor qu’elle n’avait pas réalisé jusqu’à cet instant que si le message provenait bel et bien de Nathan, alors il connaissait sa nouvelle identité. Et s’il connaissait son identité – et son numéro de téléphone –, alors il savait certainement où elle se trouvait.
— Tout va bien ? demanda Trent avant qu’elle n’ait réussi à déchiffrer le dernier message. Tu es toute blanche, ma puce.
Harper froissa la serviette en boule et plaqua un sourire sur son visage.
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-Bon, il faut que je te pose la question, commença Trent, et Cujo s’interrompit dans la série de petits bonbons en forme de cœur qu’il était en train de réaliser pour une jolie cliente originaire de Toronto. Tu dis qu’il ne se passe rien entre Drea et toi, et puis je vous surprends collés-serrés après le départ du flic. Qu’est-ce qui se passe, mec ?

Aussitôt après qu’il l’avait libérée de son étreinte, Drea était partie et il l’avait regardée s’éloigner en compagnie de Harper. La distance entre eux aurait dû l’apaiser ; à la place, il avait eu l’impression qu’on venait de lui enlever un morceau de lui-même.

-J’ai parfois l’impression qu’on est un peu comme un Mentos et un Coca : la moitié du temps, c’est explosif entre nous.

-Et l’autre moitié ?

Cujo resta silencieux un moment, hésitant sur la réponse à donner. Il respectait Drea, l’admirait même. Elle travaillait dur, s’occupait des sa mère, faisait attention aux autres. Et il crevait d’envie de la déshabiller, histoire de voir ce qu’il pouvait faire avec ce brasier qui brûlait en elle.
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- Je t’aime, Brody.
- Je t’aime aussi, crevette. (Il l’embrassa rapidement.) Maintenant, puis-je t’inviter à revenir au lit ? J’aimerai m’entraîner à ne pas faire de bébé jusqu’à ce que tu sois prête à en avoir.
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Il avait un goût délicieux, à la fois doux et tiède - une oasis de calme dans la folie du reste de sa vie.
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« – Kendalee, tu es… tout. Absolument tout pour moi. »
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- Est-ce que vous savez recouvrir des grandes cicatrices ?
Une voix douce et inattendue, derrière lui. Il regarda par-dessus son épaule, les doigts encore posés sur la clé. Dans l'ombre du palmier géant qui dominait le trottoir se tenait une silhouette solitaire, qui s'avança vers lui.
Il ne lui fallut que quelques secondes pour la reconnaître : la jeune femme de cet après-midi. Ouah. Elle avait changé de vêtements et portait à présent un jean moulant avec un haut couleur ivoire qui semblait avoir été fabriqué avec des nuages. Elle avait lâché ses cheveux sur ses épaules, mettant en valeur la peau la plus lisse qu'il avait jamais vue. Ses bras étaient enveloppés tout contre elle.
Trent s'immobilisa, la clé dans la serrure, sans quitter Harper du regard un seul instant.
- Ça dépend du type de cicatrice. La profondeur, la taille, l'emplacement, tout ça.
Elle scrutait le trottoir comme si le mégot de cigarette près de son pied était la chose la plus fascinante au monde. Ses mains se serraient en poings qu'elle relâchait aussitôt, encore et encore, donnant l'impression qu'elle voulait faire quelque chose sans savoir quoi.
- C'est pour toi ou pour quelqu'un d'autre ?
Ses doigts continuaient de tressaillir. Elle leva le menton. L'intensité dans ses yeux, qui étaient d'une teinte de vert incroyable, semblable à du verre poli, lui indiqua qu'elle était terrorisée.
- Pour moi, répondit-elle doucement.
Trent était épuisé, et toute la scène avait un goût étrange. Il pouvait très bien lui proposer de revenir le lendemain matin ou, mieux, d'appeler pour prendre rendez-vous.
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« Je ne donne pas dans le compliqué. Mais tu me donnes envie d’essayer, et ça me paraît complètement dingue.
Il repoussa la capuche de Lexi en arrière et lui retira son bonnet avant de le jeter sur le fauteuil du perron. Lorsqu’il enfouit les doigts dans les cheveux de la jeune femme, elle en eut le souffle coupé et cru défaillir.
– S’il te plaît, essaie-moi, chuchota-t-elle.
Il pressa les lèvres sur les siennes. »
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La souffrance était une sensation qu’il connaissait bien. Il savait qu’elle pouvait être insidieuse, au point de s’immiscer dans les veines. Elle pouvait aussi avoir la brutalité d’une hache. Mais il songea que la pire des douleurs était de voir souffrir un être aimé.
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La foudre et le tonnerre vont toujours ensemble. Et tu m’as dit que tu étais l’obscurité de ma lumière. On entend le tonnerre mais on voit la foudre, tout comme les gens entendent ta musique mais me voient danser.
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Il devait rentrer chez lui, boire pour l’oublier. Chasser l’idée stupide qu’ils pourraient avoir une relation, quelle qu’elle soit. Il n’aurait jamais dû l’embrasser. C’était déjà assez dur avant, mais maintenant qu’il se figurait plus précisément ce à quoi il renonçait, c’était encore pire.
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On n’est plus des gosses, il faut savoir tourner la page. La vie n’est pas toujours rose. On le sait mieux que quinconque.
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