Franck n'était pas comme ça. Pour lui, le journalisme n'était pas un métier, mais une vocation, qu'il aurait probablement vécu aussi intensément si notre journal l'avait payé plus mal encore que ce n'était le cas. Vu le nombre d'heures supplémentaires qu'il accumulait bénévolement, son salaire horaire ne devait guère dépasser celui d'un ouvrier agricole somalien.