Comme partout ailleurs les façades blanchies par les fulgurations thermiques s’effritent telle la craie mouillée. Les visages des statues s’envolent dans les bourrasques, en fine poudre cendreuse, condamnant les dieux et les hommes célèbres à l’anonymat. Les fresques et les détails architecturaux eux-mêmes s’estompent. Les carreaux des fenêtres, en fondant, se sont changés en stalactites de verre.