Aujourd'hui je te disais au-revoir, tu aurais adoré
ta cérémonie. Ton cercueil noir, les lys blanches,
et tout ton gang, endeuillé, dont ta fille.
Je vais reprendre le flambeau, mais comment faire ?
Je ne connais rien à tout ça, je sais que je ne serai
pas seule. Mais, autant de pression sur les épaules,
comme ça, je ne suis pas sûre d'être prête. Tes hommes,
qui sont désormais les miens, n'ont rien dit de tout le long.
Et tu aurais sans doute aimé, le silence, alors que pourtant,
il aurait fallu écrire un livre