Je ne pense les rapports humains qu'en terme de domination ou de soumission. J'ai la sensation que, comme dans le monde animal, nous sommes dans une alternance constante de pouvoirs et d'impuissances qui a peu à voir avec le genre. Mais les instants de puissance sont fugaces si nous restons muet.te.s de stupéfaction devant l'abus, quelle que soit la forme qu'il prend. L'Histoire a rendu les femmes silencieuses, je suis convaincue qu'il faut apprendre à parler.