Il bande d'un sexe en plastique démesuré et au-dessous sa propre verge s'élance aussi, beaucoup plus modeste.
Hugo appuie l'objet sur mon sexe, écarte les lèvres et, tandis qu'il me pénètre, il crache dans sa main, me caresse l'anus et aide sa queue à s'immiscer.
Mon ventre souffre de cet énorme membre, il se dilate, se lubrifie pour laisser la place. Mon anus ravi de la modestie de cette verge s'ouvre aussi de plaisir. Prise des deux côtés, les jambes dressées, je tortille le bassin pour aller plus loin.
Je crois que j'aime la douleur !
Ma jambe remonte le long de la sienne, sa main attrape mon pied, le caresse un moment puis le pose entre ses cuisses contre son sexe. Je le sens battre à travers l'étoffe du pantalon.
Je l'effleure légèrement. Il soupire et ferme les yeux. Mon pied descend, regrimpe, suit le relief de sa verge la découvrant chaque instant plus présente. Il entrouvre les yeux, contemple mes seins. Soudain, il saisit de nouveau mon pied et le maintient fermement contre sa queue. J'appuie fort, jusqu'à la limite de la douleur. Il gémit de satisfaction.
Leïla regarde le sexe de son mari aller et venir de plus en plus rapidement dans mon ventre. Elle se masturbe, les jambes écartées et pousse de petits jappements.
Je suis si embrasée que je jouis avant lui. S'en apercevant, il se retire, pose sa verge sur mes seins et éjacule longuement.