Je renonce à ratatiner la doudoune ; jamais elle n'atteindra la taille d'une coquille de noix. Elle en profite pour se redéployer d'un coup, heureuse de retrouver sa forme originelle, et je m'effondre sur le lit avec un léger sentiment de déconfiture. Je bois une gorgée de thé. Quelque chose m'échappe : comment les autres se débrouillent-ils pour voyager léger ?