Des cierges au Diable doit être bientôt porté à l'écran.
Telle est la raison pour laquelle l'auteur, désireux d'apporter son modeste concours à cette réalisation, a joint par endroits, au récit proprement dit, des notes et suggestions dont l'intérêt technique aux yeux des moins avertis.
A tout hasard, il se permet de rappeler aux lecteurs peu familiarisés avec le cinéma - s'il en reste encore - qu'un "travelling" est une grosse dépense d'argent, une "happy end" une fin généralement malheureuse et "un gros plan", un plan plus gros que les autres.
S.A. Steeman, 1959