19 septembre 1914.
Adieu, mes chers amis, compagnons de tant d'heures fraternelles en France, en Belgique, et jusqu'en Angleterre, il nous faut prendre congé pour longtemps. Aucune des paroles, des lettres, des salutations que je pourrais à présent vous adresser dans vos villes désormais ennemies ne vous parviendrait ; et si elles vous trouvaient, aucune ne pourrait atteindre votre cœur.