Si la majeure partie du boeuf haché d'un burger est issue du maïs, la question logique est : « quelle part de moi-même provient à l'origine du maïs ? ». Une bonne nouvelle ? Moins de 93%. Mais la mauvaise est que les scientifiques de l'université de Berkeley en Californie ont analysé des mèches de cheveux d'américains et découvert que 69 % de leur carbone était issue du maïs. Quand la même analyse a été réalisée sur des mèches de cheveux d'européens, cette valeur n'était que de 5 %.
On a récemment mis en évidence le fait que les lectines se déplacent le long du nerf vague, en passant ainsi de l'intestin au cerveau. Elles parviennent alors dans la substance noire, le centre de commutation du cerveau, et y provoquent des dégâts à l'origine de la maladie de Parkinson. Ceci explique pourquoi, selon une vaste étude chinoise, les patients ayant subi une vagotomie (section du nerf vague pour soigner des ulcères) durant les années 1960 et 1970 sont à 40% moins atteints de la maladie de Parkinson que des patients d'âge identique. Chez ces patients, les lectines ne peuvent atteindre le cerveau aussi facilement et causer autant de dégâts. Ceci explique également aussi pourquoi la maladie de Parkinson est plus fréquente chez les végétariens, en conséquence de leur consommation accrue des végétaux ( et dons de lectines). Souvenez-vous, la plante ne fait que son travail : débarrasser le monde de parasites tels que vous !